Le délégué Frci de Bondoukou, Silué Lamine, s’attelle depuis quelques jours, à mettre fin au racket dont sont victimes les voyageurs aux corridors de la citée aux mille mosquées. Selon lui, sa lutte pour redorer le blason de ses éléments porte des fruits.
Quel point sécuritaire faites-vous à Bondoukou depuis votre arrivée ?
A notre arrivée à Bondoukou, il y a eu plus de peur que de mal. Bondoukou n’a enregistré aucune perte en vie humaine. Malheureusement, aux premières heures, nous avons enregistré de nombreux pillages dans la ville. Mais très vite, nous avons réussi à contrôler la situation.
Comment avez-vous procédé pour mettre fin à ces pillages ?
D’abord par une sensibilisation de la population. Nous avons élargi cette sensibilisation aux lieux de culte de la ville. A côté de cela, nous avons mené de nombreuses patrouilles dans la ville afin de dissuader les pilleurs.
Aujourd’hui, comment assurez-vous la sécurité des populations de Bondoukou ?
A Bondoukou, nous entretenons d’excellents rapports avec tous nos autres frères d’armes. Nous nous donnons la main pour assurer la sécurité de la population.
Parlez-nous de l’organisation que vous avez mise en place dans les corridors de la ville
A chaque corridor, on distingue 2 gendarmes, 2 policiers, 2 agents des eaux et forêts, 2 éléments des Frci et 2 autres éléments de la brigade anti-drogue. Pour tous ces corps d’armée, nous avons une seule caisse qui pourvoit à leurs besoins. Ce qui permet de créer des liens étroits de fraternité et de cohésion entre nous.
Dans les corridors, les populations se plaignent de plus en plus du racket dont elles sont victimes…
Nous en sommes conscients. Et nous travaillons à cela chaque jour. Je peux vous dire qu’aujourd’hui, le racket de nos éléments a considérablement baissé. Cela est dû aux nombreuses sensibilisations et à la mise en garde que nous faisons au sein de notre maison. A ce jour, aucun élément des Frci n’oblige les voyageurs à lui payer de l’argent.
Interview réalisée par Jean
Michel Ouattara à Bondoukou
Quel point sécuritaire faites-vous à Bondoukou depuis votre arrivée ?
A notre arrivée à Bondoukou, il y a eu plus de peur que de mal. Bondoukou n’a enregistré aucune perte en vie humaine. Malheureusement, aux premières heures, nous avons enregistré de nombreux pillages dans la ville. Mais très vite, nous avons réussi à contrôler la situation.
Comment avez-vous procédé pour mettre fin à ces pillages ?
D’abord par une sensibilisation de la population. Nous avons élargi cette sensibilisation aux lieux de culte de la ville. A côté de cela, nous avons mené de nombreuses patrouilles dans la ville afin de dissuader les pilleurs.
Aujourd’hui, comment assurez-vous la sécurité des populations de Bondoukou ?
A Bondoukou, nous entretenons d’excellents rapports avec tous nos autres frères d’armes. Nous nous donnons la main pour assurer la sécurité de la population.
Parlez-nous de l’organisation que vous avez mise en place dans les corridors de la ville
A chaque corridor, on distingue 2 gendarmes, 2 policiers, 2 agents des eaux et forêts, 2 éléments des Frci et 2 autres éléments de la brigade anti-drogue. Pour tous ces corps d’armée, nous avons une seule caisse qui pourvoit à leurs besoins. Ce qui permet de créer des liens étroits de fraternité et de cohésion entre nous.
Dans les corridors, les populations se plaignent de plus en plus du racket dont elles sont victimes…
Nous en sommes conscients. Et nous travaillons à cela chaque jour. Je peux vous dire qu’aujourd’hui, le racket de nos éléments a considérablement baissé. Cela est dû aux nombreuses sensibilisations et à la mise en garde que nous faisons au sein de notre maison. A ce jour, aucun élément des Frci n’oblige les voyageurs à lui payer de l’argent.
Interview réalisée par Jean
Michel Ouattara à Bondoukou