Abidjan – Le président du NEPAD Business Group Côte d’Ivoire, Guy Mbengue a rencontré lundi le ministre de l’Intégration africaine, Adama Bictogo pour échanger sur la politique de relance et d’accompagnement du secteur privé en Côte d’Ivoire.
Selon un communiqué dudit ministère, M. Mbengue a exprimé au ministre de l’Intégration africaine son vœu de voir la Côte d’Ivoire porter à bout de bras le secteur privé dans sa quête du marché sous régional. Un soutien qui doit se traduire par un lobbying auprès des bailleurs de fonds avec pour objectif d’aider financièrement les entreprises sinistrées.
Le président du NEPAD Business Group Côte d’Ivoire a aussi souhaité un chronogramme de réactivation des projets majeurs de développement tels l’AGOA le NEPAD. Le but, à terme, est de permettre à la Côte d’Ivoire de rebondir économiquement.
En retour, le ministre Bictogo a réaffirmé la volonté du Président de la République d’impulser une dynamique nouvelle aux entreprises afin de les rendre compétitives à l’extérieur, par le biais son ministère. Pour gagner ce challenge, il veut s’appuyer sur une Agence de coopération forte qu’il compte mettre en place dans les prochains jours.
« Une Agence capable de rechercher des financements pour booster l’industrie ivoirienne.
Nous nous attelons à donner forme à ce projet qui va bientôt naitre », a indiqué M. Bictogo. Il a souligné qu’il va échanger avec toutes les structures bancaires présentes dans le pays pour définir avec elles des modes exceptionnels de financement des sociétés ivoiriennes.
A la suite du NEPAD Business Group, l’Organisation des Nations unies pour l’agriculture et l’alimentation (FAO) est venue partager sa vision sur la sécurité alimentaire et nutritionnelle.
La délégation était conduite par la représentante résidente de la FAO, Marie Noëlle Kayara.
A cette occasion, Bamba Mady, expert du Programme détaillé pour le développement de l’agriculture africaine (CADEP) a instruit le ministre sur la préparation « d’un ensemble de programmes d’urgence au regard des difficultés des campagnes agricoles ».
Adama Bictogo a noté que la FAO a un grand rôle à jouer au niveau de l’emploi des jeunes et l’agriculture. « Nous sommes à la recherche de tous les financements. Il faut définir une politique d’ensemble. Les politiques de sécurité alimentaire doivent être régionales», a-t-il conclu.
(AIP)
cmas
Selon un communiqué dudit ministère, M. Mbengue a exprimé au ministre de l’Intégration africaine son vœu de voir la Côte d’Ivoire porter à bout de bras le secteur privé dans sa quête du marché sous régional. Un soutien qui doit se traduire par un lobbying auprès des bailleurs de fonds avec pour objectif d’aider financièrement les entreprises sinistrées.
Le président du NEPAD Business Group Côte d’Ivoire a aussi souhaité un chronogramme de réactivation des projets majeurs de développement tels l’AGOA le NEPAD. Le but, à terme, est de permettre à la Côte d’Ivoire de rebondir économiquement.
En retour, le ministre Bictogo a réaffirmé la volonté du Président de la République d’impulser une dynamique nouvelle aux entreprises afin de les rendre compétitives à l’extérieur, par le biais son ministère. Pour gagner ce challenge, il veut s’appuyer sur une Agence de coopération forte qu’il compte mettre en place dans les prochains jours.
« Une Agence capable de rechercher des financements pour booster l’industrie ivoirienne.
Nous nous attelons à donner forme à ce projet qui va bientôt naitre », a indiqué M. Bictogo. Il a souligné qu’il va échanger avec toutes les structures bancaires présentes dans le pays pour définir avec elles des modes exceptionnels de financement des sociétés ivoiriennes.
A la suite du NEPAD Business Group, l’Organisation des Nations unies pour l’agriculture et l’alimentation (FAO) est venue partager sa vision sur la sécurité alimentaire et nutritionnelle.
La délégation était conduite par la représentante résidente de la FAO, Marie Noëlle Kayara.
A cette occasion, Bamba Mady, expert du Programme détaillé pour le développement de l’agriculture africaine (CADEP) a instruit le ministre sur la préparation « d’un ensemble de programmes d’urgence au regard des difficultés des campagnes agricoles ».
Adama Bictogo a noté que la FAO a un grand rôle à jouer au niveau de l’emploi des jeunes et l’agriculture. « Nous sommes à la recherche de tous les financements. Il faut définir une politique d’ensemble. Les politiques de sécurité alimentaire doivent être régionales», a-t-il conclu.
(AIP)
cmas
