Amener l’Agence Ivoirienne de la Coopération Francophone (AICF) à jouer son rôle régalien. Celui de mener des actions citoyennes au bénéfice des populations. C’est ce à quoi la nouvelle directrice de cette structure, Mme Constance Yaï, veut s’atteler. Cela, elle l’a clairement indiqué, mardi dernier, lors de la cérémonie de passation des charges avec le Directeur général intérimaire, Koffi Kossonou Paule-Marie, dans les locaux de l’institution à Cocody-Les II-Plateaux. En prenant cette résolution, Mme Constance Yaï veut corriger la vision que les Ivoiriens, dans leur grande majorité ont de l’AICF comme étant une structure exclusivement culturelle. Alors qu’elle est une agence ayant pour, entre autres prérogatives, de répercuter sur les populations ivoiriennes un certain nombre de programmes multisectoriels mis en route par l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF).
C’est donc à juste titre que cette militante des droits de l’Homme, orfèvre du bien-être familiale et activiste de la question du genre amènera l’AICF à s’approprier des questions de " l’Etat de droit", de "la citoyenneté", tout en épousant l’ère du temps avec le processus de réconciliation nationale. Elle n’entend point occulter les questions environnementales. De toute évidence, l’AICF est tombée en de bonnes mains et cela ne peut qu’être la résultante de la politique de "l’homme qu’il faut à la place qu’il faut". Cette maxime devenue la clef de voute de la remise de la Côte d’Ivoire sur le chemin du développement d’Alassane Ouattara. Pour information, l’AICF a été créée le 20 mars 2002. Elle a débuté ses activités le 17 mars 2003, soit un an après sa création. Placée sous la tutelle du ministère de la Culture et de la Francophonie, elle travaille en étroite collaboration avec l’Organisation Internationale de la Francophone (OIF).
Jean Antoine Doudou
C’est donc à juste titre que cette militante des droits de l’Homme, orfèvre du bien-être familiale et activiste de la question du genre amènera l’AICF à s’approprier des questions de " l’Etat de droit", de "la citoyenneté", tout en épousant l’ère du temps avec le processus de réconciliation nationale. Elle n’entend point occulter les questions environnementales. De toute évidence, l’AICF est tombée en de bonnes mains et cela ne peut qu’être la résultante de la politique de "l’homme qu’il faut à la place qu’il faut". Cette maxime devenue la clef de voute de la remise de la Côte d’Ivoire sur le chemin du développement d’Alassane Ouattara. Pour information, l’AICF a été créée le 20 mars 2002. Elle a débuté ses activités le 17 mars 2003, soit un an après sa création. Placée sous la tutelle du ministère de la Culture et de la Francophonie, elle travaille en étroite collaboration avec l’Organisation Internationale de la Francophone (OIF).
Jean Antoine Doudou
