Le mec idéal est-il votre première production filmographique ?
Non. J’ai débuté le métier de réalisateur en France. J’ai un autre long-métrage qui s’appelle ‘’No way’’.
l Et déjà vous glanez des lauriers…
Cela n’a pas été évident. La production d’un long-métrage est très longue et prend beaucoup de temps. Nous avons tourné Le mec idéal en 2009 et nous l’avons vraiment terminé à la veille du Fespaco. Nous ne nous attendions pas à un prix.
l Aviez-vous travaillé auparavant avec des comédiens ivoiriens ?
Non. C’est ma première production ivoirienne. J’ai pris le temps de voir des comédiens locaux. J’ai décidé de mettre ensemble plusieurs générations du cinéma ivoirien. D’où la présence de Bienvenue Neba, Thérèse Taba, Bertine N’Guessan et la nouvelle génération avec Mike Danon, Emma Lohoues…
l Le film a été réalisé au numérique alors qu’au Fespaco on réclame des films de 35 mm. Comment vous êtes-vous arrangé ?
Le processus de finition du film était compliqué. J’ai fait un partenariat avec le Maroc. Il s’est agi de convertir la bande en 35mm pour avoir la chance d’y participer.
l De quel moyen financier avez-vous bénéficié pour ce film ?
Le coût global de la production avoisine les 75 millions de Fcfa. Ce sont des privés qui se sont engagés. Car il n’y a pas d’institution pour financer de tels projets. Ç’a été des privés, des sponsors et les comédiens et techniciens qui ont accepté de travailler malgré ce qu’on leur a remis.
Entretien réalisé par S.A.
Non. J’ai débuté le métier de réalisateur en France. J’ai un autre long-métrage qui s’appelle ‘’No way’’.
l Et déjà vous glanez des lauriers…
Cela n’a pas été évident. La production d’un long-métrage est très longue et prend beaucoup de temps. Nous avons tourné Le mec idéal en 2009 et nous l’avons vraiment terminé à la veille du Fespaco. Nous ne nous attendions pas à un prix.
l Aviez-vous travaillé auparavant avec des comédiens ivoiriens ?
Non. C’est ma première production ivoirienne. J’ai pris le temps de voir des comédiens locaux. J’ai décidé de mettre ensemble plusieurs générations du cinéma ivoirien. D’où la présence de Bienvenue Neba, Thérèse Taba, Bertine N’Guessan et la nouvelle génération avec Mike Danon, Emma Lohoues…
l Le film a été réalisé au numérique alors qu’au Fespaco on réclame des films de 35 mm. Comment vous êtes-vous arrangé ?
Le processus de finition du film était compliqué. J’ai fait un partenariat avec le Maroc. Il s’est agi de convertir la bande en 35mm pour avoir la chance d’y participer.
l De quel moyen financier avez-vous bénéficié pour ce film ?
Le coût global de la production avoisine les 75 millions de Fcfa. Ce sont des privés qui se sont engagés. Car il n’y a pas d’institution pour financer de tels projets. Ç’a été des privés, des sponsors et les comédiens et techniciens qui ont accepté de travailler malgré ce qu’on leur a remis.
Entretien réalisé par S.A.