Le Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a appelé une nouvelle fois les autorités syriennes à cesser leur répression meurtrière contre les manifestants et à autoriser les Nations Unies à évaluer la situation humanitaire et la situation des droits de l'homme dans le pays.
Les tueries « doivent cesser », a dit Ban Ki-moon à des journalistes lors d'une conférence de presse à Genève. « Cela ne peut pas continuer comme cela », a-t-il ajouté.
Les autorités syriennes sont critiquées pour leur répression violente contre des manifestants qui appellent à des réformes démocratiques et à davantage de libertés. La révolte ces derniers mois aurait causé la mort de 1.200 personnes et entraîné la fuite de plus de 10.000 autres en Turquie.
Il y a plusieurs semaines, le Président syrien Bachar Al-Assad a promis d'engager des réformes en réponse aux manifestations. Ban Ki-moon avait appelé le Président à prendre des mesures sans délai et d'une façon à la fois sincère et crédible.
Le Secrétaire général de l'ONU a appelé les autorités syriennes « à respecter leurs engagements et à autoriser la venue d'une équipe d'évaluation humanitaire de l'ONU et d'une mission d'établissement des faits mandatée par le Conseil des droits de l'homme de l'ONU ».
Catherine Fiankan-Bokonga à Genève (Suisse)
Les tueries « doivent cesser », a dit Ban Ki-moon à des journalistes lors d'une conférence de presse à Genève. « Cela ne peut pas continuer comme cela », a-t-il ajouté.
Les autorités syriennes sont critiquées pour leur répression violente contre des manifestants qui appellent à des réformes démocratiques et à davantage de libertés. La révolte ces derniers mois aurait causé la mort de 1.200 personnes et entraîné la fuite de plus de 10.000 autres en Turquie.
Il y a plusieurs semaines, le Président syrien Bachar Al-Assad a promis d'engager des réformes en réponse aux manifestations. Ban Ki-moon avait appelé le Président à prendre des mesures sans délai et d'une façon à la fois sincère et crédible.
Le Secrétaire général de l'ONU a appelé les autorités syriennes « à respecter leurs engagements et à autoriser la venue d'une équipe d'évaluation humanitaire de l'ONU et d'une mission d'établissement des faits mandatée par le Conseil des droits de l'homme de l'ONU ».
Catherine Fiankan-Bokonga à Genève (Suisse)