L'information nous est parvenue, hier, au téléphone par Guillaume Gbato, secrétaire général du Syndicat national des agents de la presse privée de Côte d'Ivoire (Synappci) par ailleurs employé à " Notre Voix" : "César Etou veut renvoyer 57 personnes à " Notre Voix". Il dit qu'il n'a pas d'argent pour payer ces journalistes", nous a-t-il dit. Guillaume Gbato avec un ton violent a encore fait savoir "César Etou n'a pas mandat de le faire". Pour le reste, le secrétaire général du Synappci a promis, en tant que syndicaliste, de se prononcer sur cette affaire demain mercredi 27 juillet 2011 à 10 heures à la Maison de la presse. Joint au téléphone, César Etou (directeur de Publication) n'a pas démenti l'information. "Il ne s'agit pas de licenciement mais de chômage technique. Cela est dû à la crise. Notre entreprise a été pillée, certains agents n'ont pas de poste de travail. Comme ils ne produisent pas, alors ils ne font pas rentrer de l'argent dans l'entreprise. Ils seront donc au chômage technique jusqu'à ce que nous soyons à mesure de les réemployer",a-t-il précisé.
Dje km
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