Après plus de 10 années de troubles politico-militaires, la Côte d’Ivoire est enfin dotée d’une armée républicaine. Cette armée qui est caractérisée par une homogénéité, regroupe en son sein des hommes compétents issus des quatre points cardinaux de la Côte d’Ivoire.
Avec les récentes nominations à la tête de l’armée, le rêve du président Alassane Ouattara et du Premier ministre, Ministre de la Défense, Soro Guillaume, qui est de doter la Côte d’Ivoire d’une armée forte, républicaine et homogène, est en train de devenir une réalité. La refonte de l’armée, et surtout la mise en place de sa hiérarchie, qui se présentait à la fois comme le grand et délicat chantier du président Ouattara, après son investiture, est désormais un dossier classé. Avec la 2è vague de passations de commandement, effectuées le jeudi 21 juillet dernier, au camp Gallieni, entre les nouveaux et anciens patrons de la marine nationale et de l’armée de l’air et de terre, les nouvelles autorités viennent de tuer la gangrène qui minait notre armée, depuis 2000, date de l’accession de Laurent Gbagbo au pouvoir. Ainsi, le capitaine de Vaisseaux Djakaridja, nouveau commandant de la marine nationale, le général de Brigade Touré Sékou, nouveau commandant des forces terrestres, le colonel Major, Jean Jacques Ouégnin, nouveau commandant des forces aériennes, ont reçu chacun des mains du Chef d’Etat-Major des armées, Soumaila Bakayoko, le drapeau de l’Etat, symbolisant leur commandement. C’est le couronnement d’un long processus de redressement d’une armée ivoirienne déchirée depuis le déclenchement de la rébellion armée du 19 septembre 2002. Désormais, les frères d’armes issus de deux camps à savoir une armée du Nord qualifiée de pro-Ouattara et une armée du Sud, dite pro-Gbagbo, sont unis pour défendre la patrie et pour assurer la sécurité des biens et des personnes vivant en Côte d’Ivoire. En attendant que le recyclage de l’armée soit effectif au niveau des autres postes de responsabilité et au niveau des militaires du rang, une analyse de la nomenclature de la hiérarchie indique bien le caractère homogène de l’armée ivoirienne. Ce sont des hommes compétents qui ont fait preuve du respect des vertus cardinales de l’armée, à savoir le courage, la loyauté, le don de soi, le respect, qui ont été nommés à la tête des différentes unités de l’armée, de la gendarmerie nationale et de la police nationale. De plus, toutes les régions de la Côte d’ivoire sont représentées à la tête de la grande muette. A travers cette politique, le chef suprême des armées, le président Alassane Ouattara, vient encore de démontrer sa ferme volonté d’unir les fils et filles du pays, divisés par les refondateurs à travers les reformes à caractère tribal et l’exclusion instituées durant leur pouvoir.
ADAYE KOUAKOU
Avec les récentes nominations à la tête de l’armée, le rêve du président Alassane Ouattara et du Premier ministre, Ministre de la Défense, Soro Guillaume, qui est de doter la Côte d’Ivoire d’une armée forte, républicaine et homogène, est en train de devenir une réalité. La refonte de l’armée, et surtout la mise en place de sa hiérarchie, qui se présentait à la fois comme le grand et délicat chantier du président Ouattara, après son investiture, est désormais un dossier classé. Avec la 2è vague de passations de commandement, effectuées le jeudi 21 juillet dernier, au camp Gallieni, entre les nouveaux et anciens patrons de la marine nationale et de l’armée de l’air et de terre, les nouvelles autorités viennent de tuer la gangrène qui minait notre armée, depuis 2000, date de l’accession de Laurent Gbagbo au pouvoir. Ainsi, le capitaine de Vaisseaux Djakaridja, nouveau commandant de la marine nationale, le général de Brigade Touré Sékou, nouveau commandant des forces terrestres, le colonel Major, Jean Jacques Ouégnin, nouveau commandant des forces aériennes, ont reçu chacun des mains du Chef d’Etat-Major des armées, Soumaila Bakayoko, le drapeau de l’Etat, symbolisant leur commandement. C’est le couronnement d’un long processus de redressement d’une armée ivoirienne déchirée depuis le déclenchement de la rébellion armée du 19 septembre 2002. Désormais, les frères d’armes issus de deux camps à savoir une armée du Nord qualifiée de pro-Ouattara et une armée du Sud, dite pro-Gbagbo, sont unis pour défendre la patrie et pour assurer la sécurité des biens et des personnes vivant en Côte d’Ivoire. En attendant que le recyclage de l’armée soit effectif au niveau des autres postes de responsabilité et au niveau des militaires du rang, une analyse de la nomenclature de la hiérarchie indique bien le caractère homogène de l’armée ivoirienne. Ce sont des hommes compétents qui ont fait preuve du respect des vertus cardinales de l’armée, à savoir le courage, la loyauté, le don de soi, le respect, qui ont été nommés à la tête des différentes unités de l’armée, de la gendarmerie nationale et de la police nationale. De plus, toutes les régions de la Côte d’ivoire sont représentées à la tête de la grande muette. A travers cette politique, le chef suprême des armées, le président Alassane Ouattara, vient encore de démontrer sa ferme volonté d’unir les fils et filles du pays, divisés par les refondateurs à travers les reformes à caractère tribal et l’exclusion instituées durant leur pouvoir.
ADAYE KOUAKOU
