Un coup de fil anonyme, hier, nous informe de la découverte d'un corps déterré à la Sorbonne en plein coeur du Plateau. En quelques minutes seulement, nous y sommes avec notre reporter photo.
Nous trouvons sur place déjà des médecins légistes en pleine reconstitution des ossements humains pour avoir une idée exacte sous le regard d'un substitut du procureur et la surveillance de quelques éléments de la police scientifique et de ceux de premier arrondissement. Sergent Kassy du 1er arrondissement nous fait comprendre que les prises de vue sont strictement interdites. Les quelques curieux qui ont voulu immortaliser la chose avec leurs portables cellulaires ont été vite rappelés à l'ordre. C’est le cas de cette étudiante qui a vu son cellulaire arraché. Malgré notre instance, le capitaine de la police scientifique (il a voulu garder l'anonymat) nous renvoie au substitut du procureur. Ce dernier, lui aussi, a préféré rester dans l'anonymat pour nous dire ceci. "Nous sommes venu faire un simple constat, voir de quoi il s'agit. A ce stade, on note qu'il y a un seul corps qui a été découvert. Pour l'heure on ne peut pas vous dire si c'est une dame ou un homme. On ne
peut pas vous dire à quelle période il a été tué". Nous a fait savoir l'homme du palais de la justice.
Les médecins légistes ont le temps de rassembler tous ces ossements qui restent de cet individu qu’il sera difficile d'identifier ou encore moins de savoir à quelle période il a été tué. Selon le substitut du procureur, certains témoins indiquent que le corps traînait depuis le mois de Mars à Avril. Le major Touré de la Mairie de Cocody, lui, témoigne que c'est ce matin qu'ils ont été alertés par le machiniste de ce qu'ils ont découvert des ossements sur les lieux. "Nous avons alerté les forces de sécurité pour venir faire le constat", a-t-il indiqué.
De Bouaffo
Nous trouvons sur place déjà des médecins légistes en pleine reconstitution des ossements humains pour avoir une idée exacte sous le regard d'un substitut du procureur et la surveillance de quelques éléments de la police scientifique et de ceux de premier arrondissement. Sergent Kassy du 1er arrondissement nous fait comprendre que les prises de vue sont strictement interdites. Les quelques curieux qui ont voulu immortaliser la chose avec leurs portables cellulaires ont été vite rappelés à l'ordre. C’est le cas de cette étudiante qui a vu son cellulaire arraché. Malgré notre instance, le capitaine de la police scientifique (il a voulu garder l'anonymat) nous renvoie au substitut du procureur. Ce dernier, lui aussi, a préféré rester dans l'anonymat pour nous dire ceci. "Nous sommes venu faire un simple constat, voir de quoi il s'agit. A ce stade, on note qu'il y a un seul corps qui a été découvert. Pour l'heure on ne peut pas vous dire si c'est une dame ou un homme. On ne
peut pas vous dire à quelle période il a été tué". Nous a fait savoir l'homme du palais de la justice.
Les médecins légistes ont le temps de rassembler tous ces ossements qui restent de cet individu qu’il sera difficile d'identifier ou encore moins de savoir à quelle période il a été tué. Selon le substitut du procureur, certains témoins indiquent que le corps traînait depuis le mois de Mars à Avril. Le major Touré de la Mairie de Cocody, lui, témoigne que c'est ce matin qu'ils ont été alertés par le machiniste de ce qu'ils ont découvert des ossements sur les lieux. "Nous avons alerté les forces de sécurité pour venir faire le constat", a-t-il indiqué.
De Bouaffo