Abidjan, Une délégation de la Banque africaine d’import-export (Afreximbank), arrivée lundi à Abidjan pour une mission de trois jours, a été reçue le même jour par le ministre ivoirien de l’Economie et des Finances, Charles Diby Koffi pour échanger sur la relance économique en Côte d’Ivoire.
Selon le président d’Afreximbank, l’Ivoirien Jean-Louis Ekra, la mission vise à « concevoir en concertation avec les secteurs public et privé ivoiriens, un mécanisme de financement d’urgence ou programme pays pour accompagner le pays à relever les défis, identifier avec eux les besoins qui peuvent être financés et recueillir les informations nécessaires ».
L’objectif étant de répondre aux besoins en matière d’importations de biens essentiels (nourriture, médicaments, carburant, etc.) et d’infrastructures essentielles facilitant le commerce. Parmi les outils, il y a aussi des mécanismes tels que les programmes de financements directs, d’achat de créances, de syndication, de préfinancement de flux financiers futurs et de financements du développement des exportations qui peuvent aider la Côte d’Ivoire.
M. Ekra a noté qu’Afreximbank, basée au Caire (Egypte) intervient en Côte d’Ivoire sous la forme de financements bilatéraux octroyés principalement à des banques privées ivoiriennes afin d’être sous allouées à des sociétés publiques et privées mais sous la forme de financements directs. Il a cité l’exemple de la Société ivoirienne de raffinage (SIR) qui a bénéficié de 320 millions de dollars en juin, pour l’importation de pétrole brut.
Quant à l’argentier ivoirien, Charles Diby Koffi, il a rappelé à ses hôtes les efforts consentis par le gouvernement dans le cadre de la relance économique après la crise postélectorale. Il a entre outre plaidé pour l’ouverture d’une succursale de la banque en Afrique de l’ouest francophone, précisément en Côte d’Ivoire qui a une économie exclusive et non inclusive. Il a souhaité que l’institution investisse aussi dans les projets comme le barrage de Soubré, l’autoroute Abidjan-Yamoussoukro, le troisième pont, etc.
Les interventions de la banque en Côte d’Ivoire se chiffrent à 700 milliards FCFA en termes d’approbations, indique-t-on.
(AIP)
Selon le président d’Afreximbank, l’Ivoirien Jean-Louis Ekra, la mission vise à « concevoir en concertation avec les secteurs public et privé ivoiriens, un mécanisme de financement d’urgence ou programme pays pour accompagner le pays à relever les défis, identifier avec eux les besoins qui peuvent être financés et recueillir les informations nécessaires ».
L’objectif étant de répondre aux besoins en matière d’importations de biens essentiels (nourriture, médicaments, carburant, etc.) et d’infrastructures essentielles facilitant le commerce. Parmi les outils, il y a aussi des mécanismes tels que les programmes de financements directs, d’achat de créances, de syndication, de préfinancement de flux financiers futurs et de financements du développement des exportations qui peuvent aider la Côte d’Ivoire.
M. Ekra a noté qu’Afreximbank, basée au Caire (Egypte) intervient en Côte d’Ivoire sous la forme de financements bilatéraux octroyés principalement à des banques privées ivoiriennes afin d’être sous allouées à des sociétés publiques et privées mais sous la forme de financements directs. Il a cité l’exemple de la Société ivoirienne de raffinage (SIR) qui a bénéficié de 320 millions de dollars en juin, pour l’importation de pétrole brut.
Quant à l’argentier ivoirien, Charles Diby Koffi, il a rappelé à ses hôtes les efforts consentis par le gouvernement dans le cadre de la relance économique après la crise postélectorale. Il a entre outre plaidé pour l’ouverture d’une succursale de la banque en Afrique de l’ouest francophone, précisément en Côte d’Ivoire qui a une économie exclusive et non inclusive. Il a souhaité que l’institution investisse aussi dans les projets comme le barrage de Soubré, l’autoroute Abidjan-Yamoussoukro, le troisième pont, etc.
Les interventions de la banque en Côte d’Ivoire se chiffrent à 700 milliards FCFA en termes d’approbations, indique-t-on.
(AIP)