Eugène Marie Diomandé, actionnaire minoritaire à Koz Comium a été gardé à vue hier, après une audition à la police criminelle, dans le cadre d’une plainte de la direction illégale de Koz-Comium. Une plainte pour vol en réunion. Après la police criminelle, il a été conduit avec deux autres anciens dirigeants de la société de téléphonie mobile au 31ème arrondissement à Marcory en face de l’hôtel la Nouvelle Pergola. Sur ordre du procureur de la République, agissant par son substitut Koffi Siméon, Eugène Diomandé n’est plus libre de ses mouvements depuis hier. La menace de son arrestation planait depuis longtemps. Il s’agit de l’empêcher de nourrir des prétentions légitimes autour de la société de téléphonie mobile, dont il détient 13,5 pour cent des parts. Ses avocats et amis se mobilisent. Son épouse, sa famille et ses proches étaient hier à la police criminelle, pour protester contre le sort qui lui est fait. Ils se sont ensuite rendus à Marcory où il a été gardé à vue. « Chaque fois qu’il vient avec un jet privé à Abidjan, ou part ailleurs, Nizzar Dalloul fait payer cinquante millions de FCFA à la société. Des milliards ont été transférés à l’étranger, notamment au Liban. Eugène Diomandé demande simplement qu’une décision de justice soit appliquée avec la nomination d’un administrateur provisoire, pour voir clair dans la gestion. Au lieu de cela, on préfère l’humilier, on préfère bafouer l’autorité de Koné Mamadou, Président de la Cour suprême et refuser d’appliquer sa décision. Comment des gens qui prétendent que seul le tribunal arbitral de Paris, peut et doit régler l’affaire, peuvent-ils porter plainte à leur tour, en refusant d’obéir à d’autres décisions de la justice ivoirienne ? On prétend préserver des emplois, on prétend éviter de faire fuir des investisseurs. Mais, c’est de la tromperie. C’est pour l’empêcher de s’installer comme PCA, que Nizzar Dalloul et son acolyte Michel Herbert le font mettre en prison. C’est plutôt eux qui doivent y aller. Après avoir fait pression sur lui pour qu’il renonce à la présidence de la Fédération ivoirienne de Football (FIF), on veut le spolier.
Par ailleurs, les mêmes avaient tenté en vain, de l’associer aux actions d’Ibrahim Coulibaly (IB). Mais la vigilance du Premier ministre a permis d’empêcher cette autre imposture. Cela signifie, qu’il s’agit d’un vaste complot ourdi depuis longtemps, non seulement pour l’humilier, mais aussi pour lui arracher ses parts dans Comium , au profit d’autres personnes , à travers des subterfuges et artifices », explique un juriste averti de la question, qui promet de se prononcer dans les heures qui viennent. Des journalistes qui se sont rendus sur les lieux hier, ont été invités à attendre à l’extérieur de la police criminelle. Aucune information sérieuse n’a pu être fournie par des sources officielles. Il s’agit là, d’une affaire honteuse, très honteuse, vraiment honteuse ! Pas pour la République, mais pour ceux qui tirent sans aucune finesse, ni dignité, et de façon aussi grossière les ficelles. Mais ils devront bien finir par sortir de l’ombre et assumer au grand jour, s’ils sont vraiment forts et si puissants, pour assumer leur forfaiture ! Rien ne sert de rester entre quatre murs pour jouer les puissants !
Car tôt ou tard tout se paie. Et si on a peur d’assumer, on s’est rien. On n’est rien ! Quand on a combattu Gbagbo et le chasser du pouvoir, on ne doitpas peur d’agir au grand jour, si on prétend vraiment avoir la bénédiction du chef de l’Etat. Et puis, quand on est fort, on doit pouvoir empêcher la Cour suprême de prendre les décisions, comme on l’avait prétendu. On ne joue pas le redresseur après la Cour Suprême! Le plus fort, c’est Alassane Ouattara, c’est lui que les Ivoiriens ont élu. Le reste, on fait avec. Parce qu’on n’a pas le choix. Sinon !
C’est poussière ! A noter qu’Eugène Diomandé est le neveu direct du Président du Conseil Constitutionnel, Francis Vangah Wodié, chargé de dire le droit. Comment va-t-il réagir devant cette grave injustice, cet abus d’autorité ? Tout se paie sur terre. Le bien comme le mal. A bon entendeur ! Nous y reviendrons.
Charles Kouassi
Par ailleurs, les mêmes avaient tenté en vain, de l’associer aux actions d’Ibrahim Coulibaly (IB). Mais la vigilance du Premier ministre a permis d’empêcher cette autre imposture. Cela signifie, qu’il s’agit d’un vaste complot ourdi depuis longtemps, non seulement pour l’humilier, mais aussi pour lui arracher ses parts dans Comium , au profit d’autres personnes , à travers des subterfuges et artifices », explique un juriste averti de la question, qui promet de se prononcer dans les heures qui viennent. Des journalistes qui se sont rendus sur les lieux hier, ont été invités à attendre à l’extérieur de la police criminelle. Aucune information sérieuse n’a pu être fournie par des sources officielles. Il s’agit là, d’une affaire honteuse, très honteuse, vraiment honteuse ! Pas pour la République, mais pour ceux qui tirent sans aucune finesse, ni dignité, et de façon aussi grossière les ficelles. Mais ils devront bien finir par sortir de l’ombre et assumer au grand jour, s’ils sont vraiment forts et si puissants, pour assumer leur forfaiture ! Rien ne sert de rester entre quatre murs pour jouer les puissants !
Car tôt ou tard tout se paie. Et si on a peur d’assumer, on s’est rien. On n’est rien ! Quand on a combattu Gbagbo et le chasser du pouvoir, on ne doitpas peur d’agir au grand jour, si on prétend vraiment avoir la bénédiction du chef de l’Etat. Et puis, quand on est fort, on doit pouvoir empêcher la Cour suprême de prendre les décisions, comme on l’avait prétendu. On ne joue pas le redresseur après la Cour Suprême! Le plus fort, c’est Alassane Ouattara, c’est lui que les Ivoiriens ont élu. Le reste, on fait avec. Parce qu’on n’a pas le choix. Sinon !
C’est poussière ! A noter qu’Eugène Diomandé est le neveu direct du Président du Conseil Constitutionnel, Francis Vangah Wodié, chargé de dire le droit. Comment va-t-il réagir devant cette grave injustice, cet abus d’autorité ? Tout se paie sur terre. Le bien comme le mal. A bon entendeur ! Nous y reviendrons.
Charles Kouassi