Le Président de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire, Mamadou Koulibaly a qualifié
récemment dans les locaux de l’Onuci la suspension des salaires des Députés par le Président de la République Alassane Ouattara de crise humanitaire. Pour l’ex-deuxième personnalité de la Côte d’Ivoire, selon la constitution, ce n’est pas normal que leurs salaires soient suspendus depuis deux (2) mois pour les Députés et sept (7) mois pour les travailleurs de cette institution. C’est un cri du cœur d’autant plus légitime, en ce sens que les Députés et autres travailleurs sont des pères de famille n’ayant jamais voulu arrêter le travail et n’ayant jamais constitué un obstacle pour la tenue des élections législatives pouvant mettre fin à leur mandat. Mais en réalité faut-il condamner le Président Alassane Ouattara qui a également pris l’engagement de respecter la constitution comme l’avait indiqué le porte-parole du gouvernement, le Ministre Koné Bruno mardi dernier ? En tout cas, si l’on doit blâmer quelqu’un, c’est bien l’ex-président Laurent Gbagbo qui avait rusé avec les différents accords signés depuis Marcoussis en passant par Accra, Pretoria etc. Parce qu’il ne voulait pas aller aux élections afin de permettre la normalisation des choses. Alors le Président de l’Assemblée Nationale dont le cri de cœur constitue également une dénonciation de la décision prise par Ado devrait plutôt plaider afin qu’une solution idoine soit trouvée pour ces pères de famille que sont ces députés et autres travailleurs de l’Assemblée nationale.
B. Amon
récemment dans les locaux de l’Onuci la suspension des salaires des Députés par le Président de la République Alassane Ouattara de crise humanitaire. Pour l’ex-deuxième personnalité de la Côte d’Ivoire, selon la constitution, ce n’est pas normal que leurs salaires soient suspendus depuis deux (2) mois pour les Députés et sept (7) mois pour les travailleurs de cette institution. C’est un cri du cœur d’autant plus légitime, en ce sens que les Députés et autres travailleurs sont des pères de famille n’ayant jamais voulu arrêter le travail et n’ayant jamais constitué un obstacle pour la tenue des élections législatives pouvant mettre fin à leur mandat. Mais en réalité faut-il condamner le Président Alassane Ouattara qui a également pris l’engagement de respecter la constitution comme l’avait indiqué le porte-parole du gouvernement, le Ministre Koné Bruno mardi dernier ? En tout cas, si l’on doit blâmer quelqu’un, c’est bien l’ex-président Laurent Gbagbo qui avait rusé avec les différents accords signés depuis Marcoussis en passant par Accra, Pretoria etc. Parce qu’il ne voulait pas aller aux élections afin de permettre la normalisation des choses. Alors le Président de l’Assemblée Nationale dont le cri de cœur constitue également une dénonciation de la décision prise par Ado devrait plutôt plaider afin qu’une solution idoine soit trouvée pour ces pères de famille que sont ces députés et autres travailleurs de l’Assemblée nationale.
B. Amon
