Le Ministre de l’Enseignement Technique et de la Formation Professionnelle, M. Flindé Albert était ce Mercredi 17 Août 2011, l’hôte de la CGECI. Au menu de la rencontre, mettre au gout du jour le partenariat qui lie l’Etat de Côte d’ivoire au patronat. Cette convention paraphé entre l’Etat de Côte d’Ivoire, à travers le Ministère de l’Enseignement Technique et de la Formation Professionnelle et l’ensemble des patrons d’entreprises privées , en septembre 2009, n’a pu connaitre un début d’application. C’est pour donner vie à cet important mécanisme, qui viendra résoudre les questions liées au chômage massif des stagiaires et apprenants du système de l’Enseignement Technique et de la Formation Professionnelle, que le Ministre FLINDE Albert est allé à la rencontre du bureau exécutif de la CGECI, à son siège, le Mercredi 17 Août 2011. En l’absence du président de cette structure empêché, il est revenu au vice président, M. N’DOUMI Bernard, la responsabilité de recevoir le Ministre. « Nous sommes heureux de vous accueillir, connaissant votre détermination pour la mise en œuvre de la reforme de l’Enseignement Technique et de la Formation Professionnelle, à travers son volet partenariat école entreprise. Nous vous rassurons de notre franche collaboration et vous annonçons que nous sommes au service du développement » a soutenu le vice Président de la CGECI. Le Ministre FLINDE Albert a pour sa part donner l’assurance que la reforme du système connaitra une application effective, avant d’annoncer un atelier à son initiative qui viendra réorienter et harmoniser cette reforme avec les réalités actuelles. Ceci, pour le début du mois de septembre 2011. « Nous allons passer rapidement à la phase d’application de la reforme de l’Enseignement Technique et de la Formation Professionnelle. Nous avons fait de la politique pendant 10 ans, avec tout ce que nous avons connu comme désastre et retard. Nous devons repartir avec des ivoiriens biens formés ». A souligner le Ministre FLINDE Albert, qui n’a pas manqué de préciser à ses hôtes « que tout ce que ferons au niveau de l’Enseignement Technique se fera avec le secteur privé ».
Le service communication
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