Gal Soumaïla Bakayoko
Chef d’état-major des FaFn, il a pour mission de permettre l’encasernement ou la démobilisation des éléments sous ses ordres. Il doit, pour cela, faire preuve de détermination et d’opiniâtreté. A la création des forces républicaines, il est nommé chef d’état-major général avec le grade de gal de division.
Gal Michel Gueu
Colonel de l’armée régulière, il devient ministre des Sports et loisirs pour le compte des Fn. Ancien commandant de la garde républicaine sous Robert Guéi, il conseille à ce dernier de quitter le pouvoir et de ne pas tirer sur le peuple qui lui demande de céder le pouvoir. Il devient général et est actuellement le chef d’état-major particulier du président de la République.
Colonel-major Bamba Sinima
Il a un riche parcours au sein de l’armée régulière. Chef technique du bataillon du génie de Bouaké pendant neuf ans, chef de section matériel au 4ème bureau de l’état-major des fanci de 89 à 94, cdt en second de l’Ecole des forces armée de Bouaké, cdt de l’Ecole nationale des sous-officiers d’active (Ensoa, de 99 à 2001), et major de la garnison de la place d’Abidjan. De là, il rejoint l’ex-rébellion où il sera le chef de la division emploi-opération à l’état-major des Fn. Il sera également chef de cabinet militaire du secrétaire général des Fn, jusqu’à maintenant, et président du Comité école et examen. Depuis 2007, il est le directeur de cabinet du secrétaire général des Fn.
Issiaka Ouattara dit Wattao
Patron de la compagnie Anaconda à Bouaké, il dirigeait la zone 5 (les zones sont devenues ensuite groupements tactiques avant leur disparition) représentée par Séguéla. Avec le départ de Zackaria Koné qui commandait Vavoua, cette localité est mise sous son ordre. Chef d’état-major adjoint de l’armée des Fn, il est un ancien de la Société omnisports de l’armée (Soa), l’équipe sportive de l’armée ivoirienne.
Chérif Ousmane
« Papa Guépard ». C’est le surnom du chef de la compagnie Guépard basée à Bouaké. Ancien de la Force d’intervention rapide para-commando (Firpac) et ex-chauffeur du général Mathias Doué durant la transition militaire dirigée par Robert Guéï, il est de ceux qui ont toujours cru que seule la violence pouvait faire partir Laurent Gbagbo. Même après tous les accords de paix, ses hommes ont continué intensément leurs entraînements militaires.
Koné Zackaria
Son petit nom, qui n’a rien à voir avec ses exploits de militaire, c’est « el hadj Koné » qu’il doit à son voyage en terre sainte musulmane. Au début de la rébellion, les pro-Gbagbo ont utilisé sa fonction au sein de l’armée (il était cuistot) pour railler la rébellion : « que peut faire un cuisinier dans une guerre ? ». Pourtant, il s’est avéré comme l’un des chefs de guerre les plus craints par le camp ennemi.
Losséni Fofana dit Loss
Il a dirigé la localité de Man, une zone réputée difficile en raison de sa position frontalière avec la Guinée et le Libéria. Il est un ancien de la Force d’intervention rapide para-commando (Firpac), classe 93/2A
Fofié Kouakou
Ex-caporal de l’armée régulière, il commande la zone 10, Korhogo. C'est un homme d'un charisme indiscutable. En plus de ses actions de sécurisation, il a entrepris de vastes chantiers d’assainissement et de reconstruction d’édifices en ruine. Des actes qui plaideront en sa faveur quand il faudra convaincre les Nations Unies de lever les sanctions qui pèsent sur lui.
Ousmane Coulibaly dit Ben Laden
Son surnom, il le doit à sa barbe touffue au début de la rébellion qu’il a rasée depuis la confirmation de son grade de commandant dans la nouvelle armée. Ancien para-commando et agent de transmission radio, il était le patron de la zone 8, Odienné.
Koné Gaoussou alias Jah Gao
Elément actif dans le coup d'Etat militaire qui a installé le général Robert Guéi, il dirigeait la zone 9, Boundiali. Il a actuellement à charge la sécurité d’Abobo. L’autre élément pour lequel il est célèbre, en plus de ses faits d’arme, c’est que son épouse est une chanteuse nationalement connue.
Touré Hervé dit Vetcho
Il a pour idole Che Guevara. Chef de la zone 2 de Katiola, il était le chef d’état-major particulier de Guillaume Soro. Il est un ancien de la Garde républicaine (GR), du 3ème bataillon d'infanterie et du service des transmissions de l’état-major des forces armées nationales de Côte d'Ivoire (FANCI).
Ouattara Morou
Il s’est vite fait remarquer par la forte coloration féminine de son unité. Ancien boxeur de la Soa, il commande la zone 1, Bouna à la tête de son unité dénommée « Atchengué » qui signifie « On y va » en Moré.
Commissaire Ouattara Seydou
Au terme du conclave des Fn en mars 2010, il est désigné porte-parole militaire du mouvement. Un poste stratégique créé pour permettre plus d’efficacité dans la communication militaire.
Tuo Fozié et Koné Messamba
Il est au nombre de ceux qui sont à la base du coup d’Etat de 99 et de la rébellion. Il entre au gouvernement en qualité de ministre de la Jeunesse et du service civique. Alors que Koné Messamba est ministre des Victimes de la guerre, des déplacés et exilés. Depuis, ils ont joué des rôles plus discrets au sein des Fn.
Bamba K. Inza
Chef d’état-major des FaFn, il a pour mission de permettre l’encasernement ou la démobilisation des éléments sous ses ordres. Il doit, pour cela, faire preuve de détermination et d’opiniâtreté. A la création des forces républicaines, il est nommé chef d’état-major général avec le grade de gal de division.
Gal Michel Gueu
Colonel de l’armée régulière, il devient ministre des Sports et loisirs pour le compte des Fn. Ancien commandant de la garde républicaine sous Robert Guéi, il conseille à ce dernier de quitter le pouvoir et de ne pas tirer sur le peuple qui lui demande de céder le pouvoir. Il devient général et est actuellement le chef d’état-major particulier du président de la République.
Colonel-major Bamba Sinima
Il a un riche parcours au sein de l’armée régulière. Chef technique du bataillon du génie de Bouaké pendant neuf ans, chef de section matériel au 4ème bureau de l’état-major des fanci de 89 à 94, cdt en second de l’Ecole des forces armée de Bouaké, cdt de l’Ecole nationale des sous-officiers d’active (Ensoa, de 99 à 2001), et major de la garnison de la place d’Abidjan. De là, il rejoint l’ex-rébellion où il sera le chef de la division emploi-opération à l’état-major des Fn. Il sera également chef de cabinet militaire du secrétaire général des Fn, jusqu’à maintenant, et président du Comité école et examen. Depuis 2007, il est le directeur de cabinet du secrétaire général des Fn.
Issiaka Ouattara dit Wattao
Patron de la compagnie Anaconda à Bouaké, il dirigeait la zone 5 (les zones sont devenues ensuite groupements tactiques avant leur disparition) représentée par Séguéla. Avec le départ de Zackaria Koné qui commandait Vavoua, cette localité est mise sous son ordre. Chef d’état-major adjoint de l’armée des Fn, il est un ancien de la Société omnisports de l’armée (Soa), l’équipe sportive de l’armée ivoirienne.
Chérif Ousmane
« Papa Guépard ». C’est le surnom du chef de la compagnie Guépard basée à Bouaké. Ancien de la Force d’intervention rapide para-commando (Firpac) et ex-chauffeur du général Mathias Doué durant la transition militaire dirigée par Robert Guéï, il est de ceux qui ont toujours cru que seule la violence pouvait faire partir Laurent Gbagbo. Même après tous les accords de paix, ses hommes ont continué intensément leurs entraînements militaires.
Koné Zackaria
Son petit nom, qui n’a rien à voir avec ses exploits de militaire, c’est « el hadj Koné » qu’il doit à son voyage en terre sainte musulmane. Au début de la rébellion, les pro-Gbagbo ont utilisé sa fonction au sein de l’armée (il était cuistot) pour railler la rébellion : « que peut faire un cuisinier dans une guerre ? ». Pourtant, il s’est avéré comme l’un des chefs de guerre les plus craints par le camp ennemi.
Losséni Fofana dit Loss
Il a dirigé la localité de Man, une zone réputée difficile en raison de sa position frontalière avec la Guinée et le Libéria. Il est un ancien de la Force d’intervention rapide para-commando (Firpac), classe 93/2A
Fofié Kouakou
Ex-caporal de l’armée régulière, il commande la zone 10, Korhogo. C'est un homme d'un charisme indiscutable. En plus de ses actions de sécurisation, il a entrepris de vastes chantiers d’assainissement et de reconstruction d’édifices en ruine. Des actes qui plaideront en sa faveur quand il faudra convaincre les Nations Unies de lever les sanctions qui pèsent sur lui.
Ousmane Coulibaly dit Ben Laden
Son surnom, il le doit à sa barbe touffue au début de la rébellion qu’il a rasée depuis la confirmation de son grade de commandant dans la nouvelle armée. Ancien para-commando et agent de transmission radio, il était le patron de la zone 8, Odienné.
Koné Gaoussou alias Jah Gao
Elément actif dans le coup d'Etat militaire qui a installé le général Robert Guéi, il dirigeait la zone 9, Boundiali. Il a actuellement à charge la sécurité d’Abobo. L’autre élément pour lequel il est célèbre, en plus de ses faits d’arme, c’est que son épouse est une chanteuse nationalement connue.
Touré Hervé dit Vetcho
Il a pour idole Che Guevara. Chef de la zone 2 de Katiola, il était le chef d’état-major particulier de Guillaume Soro. Il est un ancien de la Garde républicaine (GR), du 3ème bataillon d'infanterie et du service des transmissions de l’état-major des forces armées nationales de Côte d'Ivoire (FANCI).
Ouattara Morou
Il s’est vite fait remarquer par la forte coloration féminine de son unité. Ancien boxeur de la Soa, il commande la zone 1, Bouna à la tête de son unité dénommée « Atchengué » qui signifie « On y va » en Moré.
Commissaire Ouattara Seydou
Au terme du conclave des Fn en mars 2010, il est désigné porte-parole militaire du mouvement. Un poste stratégique créé pour permettre plus d’efficacité dans la communication militaire.
Tuo Fozié et Koné Messamba
Il est au nombre de ceux qui sont à la base du coup d’Etat de 99 et de la rébellion. Il entre au gouvernement en qualité de ministre de la Jeunesse et du service civique. Alors que Koné Messamba est ministre des Victimes de la guerre, des déplacés et exilés. Depuis, ils ont joué des rôles plus discrets au sein des Fn.
Bamba K. Inza