C’est une bonne appréciation de la situation et des engagements qu’il faut. Cela s’inscrit dans la droite ligne de ce que lui-même a qualifié de travail professionnel, compétent, technique avec les valeurs telles que l’intégrité, l’honnêteté, la citoyenneté, l’attachement aux biens publics. La monnaie est le bien public numéro 1. Et elle appartient à tous. Avoir l’honneur d’être celui, qui par ses actes quotidien va en impulser la gestion, est une immense responsabilité. Il en est conscient. Il est conscient que son pays a impacté négativement la situation de la banque. Mais l’institution est solide. Je crois qu’il trouvera le moyen de faire en sorte que les effets négatifs de la crise ivoirienne sur la situation de l’Union s’estompent progressivement et s’effacent à la fin.
JEA
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