Sylvain Miaka Ouretto, président par intérim du Front populaire ivoirien (FPI), est annoncé ce vendredi, au Ghana. Avant la réalisation de ce voyage, Patrick Zasso « Anglobal », chargé de communication et porte-parole de l’Association des réfugiés ivoiriens de la diaspora (ARID), interpelle le socialiste.
« C’est une bonne nouvelle. Dites au président Miaka que nous sommes prêts à l’accueillir si son calendrier prévoit une rencontre avec nous. Mais qu’il comprenne que la seule nouvelle que nous attendons ici où c’est dur pour tous les réfugiés, c’est qu’il vienne nous annoncer que Laurent Gbagbo et ses camarades de La majorité présidentielle (LMP) seront libérés sans condition et que seront annulés les mandats d’arrêt lancés tous azimuts contre les autres proches de Gbagbo par Alassane Ouattara. C’est à cette condition que nous allons rentrer de notre exil », râle « Anglobal », joint par téléphone depuis le Ghana.
Pour le porte-parole de l’ARID présidée par Benoit Kamena Brown, c’est la réponse du berger à la bergère. « Souvenez-vous de ce que Soro Guillaumes et ses amis de la rébellion faisaient prévaloir, il y a quelques années. Ils soutenaient qu’ils avaient pris les armes pour qu’on donne la nationalité ivoirienne à leur mentor Alassane Ouattara et lui permette du coup d’être candidat à la présidentielle. Et cela a été fait sous la pression de tous. Aujourd’hui, à notre tour, nous exigeons que Gbagbo et ses partisans soient remis en liberté », rappelle-t-il.
Schadé Adédé
« C’est une bonne nouvelle. Dites au président Miaka que nous sommes prêts à l’accueillir si son calendrier prévoit une rencontre avec nous. Mais qu’il comprenne que la seule nouvelle que nous attendons ici où c’est dur pour tous les réfugiés, c’est qu’il vienne nous annoncer que Laurent Gbagbo et ses camarades de La majorité présidentielle (LMP) seront libérés sans condition et que seront annulés les mandats d’arrêt lancés tous azimuts contre les autres proches de Gbagbo par Alassane Ouattara. C’est à cette condition que nous allons rentrer de notre exil », râle « Anglobal », joint par téléphone depuis le Ghana.
Pour le porte-parole de l’ARID présidée par Benoit Kamena Brown, c’est la réponse du berger à la bergère. « Souvenez-vous de ce que Soro Guillaumes et ses amis de la rébellion faisaient prévaloir, il y a quelques années. Ils soutenaient qu’ils avaient pris les armes pour qu’on donne la nationalité ivoirienne à leur mentor Alassane Ouattara et lui permette du coup d’être candidat à la présidentielle. Et cela a été fait sous la pression de tous. Aujourd’hui, à notre tour, nous exigeons que Gbagbo et ses partisans soient remis en liberté », rappelle-t-il.
Schadé Adédé