Après la capture de Laurent Gbagbo, le lundi 11 avril 2011, les premières déclarations de son parti, le Front populaire ivoirien (Fpi) ont fait dire à beaucoup d`observateurs que l`ancien parti au pouvoir se comportait en parti de terroristes. La suite du comportement des dirigeants intérimaires dont le président, Miaka Ouretto, pourtant présenté comme une colombe, les membres en exil dans la sous région dirigés par le ministre Assoa Adou, les membres de la diaspora dont 4 pelés et 1 tondu ont voulu souiller la mémoire de Félix Houphouët-Boigny en tentant de troubler la cérémonie de remise du prestigieux prix pour la recherche de la paix, conforte cette opinion du Fpi qui se comporte en parti terroriste. Et la méthode prisée par ce parti est la manipulation. La manipulation, le Fpi l`use sans retenue, sans état d`âme, et avec arrogance et cynisme. Qu`on se souvienne de ces bambins qui, manipulés, ont traité Houphouët-Boigny, le Grand, de " voleur ", qu`on n`oublie pas tous ces jeunes, pompeusement appelés " jeunes patriotes ", que le Fpi a transformés en hyènes dévoreuses d`hommes. Le pic sera atteint avec le fameux " article 125 " de Blé Goudé où le régime de Gbagbo avait donné sa caution pour que des Ivoiriens brûlent d`autres Ivoiriens, impunément.
Aujourd`hui, le Fpi est dans l`opposition. Mais une constance se dégage : Le Fpi n`a pas changé d`un iota. Il continue de développer son génie du mal comme Oussama Ben Laden, le 11 septembre 2011, aux Etats-Unis. Le Fpi jette à la face des Ivoiriens que si l`occasion s`offrait encore à lui, il tuerait les Ivoiriens avec le même " je m`en foutisme ", sans aucun remords. Les morts, nombreux à Duékoué, à Abidjan, partout en Côte d`Ivoire, ce sont des détails de l`histoire. Il suffit pour cela d`écouter les membres qui, par la clémence du président Alassane Ouattara, sont restés au pays, donner dans la provocation. Ils montent un groupe de femmes malinké pour crier à des cérémonies, "Gbagbo, kafissa". Insulte grossière quand on sait qu`en 6 mois, Ouattara a fait mieux que Gbagbo en 10 ans. Au sortir d`un meeting, tenu dans la commune de Koumassi, le 4 septembre 2011, l`ancien ministre de la Défense, Amani N`guessan, qui a envoyé un colonel de l`armée acheter clandestinement des armes aux Etats-Unis, a été clair : le Fpi va déstabiliser le régime en place. Le 6 septembre 2011, Justin Koua, le président par intérim de la Jfpi, renchérissait, "Bientôt, nous démontrerons que le Fpi n`est pas mort". Si tant il est vrai que la jeunesse constitue le fer de lance d`un parti politique et que nous connaissons la méthode de conquête du pouvoir par le Fpi, faite de casses, de bus braisés, de saccages, de vols, de viols, de tueries (Thierry Zébié, Jean Hélène, Habib Dodo, Bah Solo, etc.), et d`individus braisés, il est à parier que ce parti terroriste se croit en territoire conquis. Il suffit de lire les unes des journaux bleus pour se convaincre de leur état d`esprit. Il suffit de suivre les cérémonies de réconciliation organisées dans les régions. Vous ne verrez jamais un cadre du Fpi ou de Lmp se repentir du sang des Ivoiriens que Gbagbo et les siens ont sur les mains. Le bas peuple ne comprend pas que le Fpi continue à terroriser les honnêtes gens, à empoisonner leurs esprits par des mensonges à longueur de journée, à troubler la quiétude que le nouveau régime veut instaurer, à narguer les autorités qui donnent à croire que tolérance avec faiblesse. A quand, au nom de la réconciliation, va cesser cette lâcheté de démocrate qui se laisse marcher sur les pieds ?
Le Fpi n`est pas loin de la méthode Al-quaïda. Il faut le combattre jusque dans ses derniers retranchements. Il faut le secouer. Il faut tuer ce serpent dangereux qui n`est pas encore mort.
Gnamantêh
Aujourd`hui, le Fpi est dans l`opposition. Mais une constance se dégage : Le Fpi n`a pas changé d`un iota. Il continue de développer son génie du mal comme Oussama Ben Laden, le 11 septembre 2011, aux Etats-Unis. Le Fpi jette à la face des Ivoiriens que si l`occasion s`offrait encore à lui, il tuerait les Ivoiriens avec le même " je m`en foutisme ", sans aucun remords. Les morts, nombreux à Duékoué, à Abidjan, partout en Côte d`Ivoire, ce sont des détails de l`histoire. Il suffit pour cela d`écouter les membres qui, par la clémence du président Alassane Ouattara, sont restés au pays, donner dans la provocation. Ils montent un groupe de femmes malinké pour crier à des cérémonies, "Gbagbo, kafissa". Insulte grossière quand on sait qu`en 6 mois, Ouattara a fait mieux que Gbagbo en 10 ans. Au sortir d`un meeting, tenu dans la commune de Koumassi, le 4 septembre 2011, l`ancien ministre de la Défense, Amani N`guessan, qui a envoyé un colonel de l`armée acheter clandestinement des armes aux Etats-Unis, a été clair : le Fpi va déstabiliser le régime en place. Le 6 septembre 2011, Justin Koua, le président par intérim de la Jfpi, renchérissait, "Bientôt, nous démontrerons que le Fpi n`est pas mort". Si tant il est vrai que la jeunesse constitue le fer de lance d`un parti politique et que nous connaissons la méthode de conquête du pouvoir par le Fpi, faite de casses, de bus braisés, de saccages, de vols, de viols, de tueries (Thierry Zébié, Jean Hélène, Habib Dodo, Bah Solo, etc.), et d`individus braisés, il est à parier que ce parti terroriste se croit en territoire conquis. Il suffit de lire les unes des journaux bleus pour se convaincre de leur état d`esprit. Il suffit de suivre les cérémonies de réconciliation organisées dans les régions. Vous ne verrez jamais un cadre du Fpi ou de Lmp se repentir du sang des Ivoiriens que Gbagbo et les siens ont sur les mains. Le bas peuple ne comprend pas que le Fpi continue à terroriser les honnêtes gens, à empoisonner leurs esprits par des mensonges à longueur de journée, à troubler la quiétude que le nouveau régime veut instaurer, à narguer les autorités qui donnent à croire que tolérance avec faiblesse. A quand, au nom de la réconciliation, va cesser cette lâcheté de démocrate qui se laisse marcher sur les pieds ?
Le Fpi n`est pas loin de la méthode Al-quaïda. Il faut le combattre jusque dans ses derniers retranchements. Il faut le secouer. Il faut tuer ce serpent dangereux qui n`est pas encore mort.
Gnamantêh
