Faciliter l’accès au crédit de sorte que les acteurs culturels puissent trouver le financement de leurs projets. C’est l’objectif principal du Fonds de Garantie des Industries Culturelles (FGIC). En tournée de présentation de ce produit financier en Côte d’Ivoire, M. Mohamed Diallo, responsable du FGIC, et son Assistant Rodrigue Takougnadi, étaient face à la presse hier au siège de l’Agence Ivoirienne de la Coopération Francophone (AICF) aux Deux Plateaux- Vallon. Expliquant quelques conditionnalités d’accès à ce fonds de garantie, M. Diallo rappelle que ce sont « les PME/PMI, dont le chiffre d’affaire annuel n’excède pas 1 milliard de FCFA; des personnes morales de droit privé légalement constituées» qui peuvent en bénéficier. Et ceux-ci doivent exercer dans les secteurs tels que le Cinéma, l’Audiovisuel, l’Edition (livre), la musique, la presse, les plastiques, l’artisanat.
Représentant Mme Constance Yaï, Directrice de l’AICF, M. Michel Diézion, Directeur des Relations Extérieures, a souhaité que « ce fonds permette à la Côte d’Ivoire de se hisser à la première place dans le financement de projets». Par ailleurs, il n’a pas manqué de rassurer sur le rôle d’interface de l’AICF dans la sensibilisation des promoteurs culturels afin qu’ils soumettent des projets bancables au fonds.
C’est à l’initiative de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF) et de la Banque d’Investissement et de Développement (BIDC) que le FGIC a été créé pour octroyer des garanties en "prêts directs", " crédits- bail" ou caution "bancaire" en couverture. Le Fonds intervient à hauteur de près de 80%, quand 20% reviennent à l’établissement bancaire qui porte à bout de bras le projet du promoteur culturel. La Côte d’Ivoire, le Burkina Faso, le Mali, le Sénégal et la Togo sont les pays concernés par le fonds dans sa première phase.
La FGIC, pendant cette tournée, rencontrera, entre autres, les patrons de presse, les organisations de la presse, les patrons des institutions bancaires, des acteurs culturels en ateliers et séances de travail. Plusieurs acteurs du monde culturel, au nombre desquels Wêrê-Wêrê Liking (promotrice de la fondation Ki-Yi); Joseph Niamkey de "Meiway organisation" ; Claude Bassolé, ont rehaussé la cérémonie de leur présence. Les échanges ont montré l’intérêt du monde culturel sur les détails de ce fonds.
Jean- Antoine Doudou
Représentant Mme Constance Yaï, Directrice de l’AICF, M. Michel Diézion, Directeur des Relations Extérieures, a souhaité que « ce fonds permette à la Côte d’Ivoire de se hisser à la première place dans le financement de projets». Par ailleurs, il n’a pas manqué de rassurer sur le rôle d’interface de l’AICF dans la sensibilisation des promoteurs culturels afin qu’ils soumettent des projets bancables au fonds.
C’est à l’initiative de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF) et de la Banque d’Investissement et de Développement (BIDC) que le FGIC a été créé pour octroyer des garanties en "prêts directs", " crédits- bail" ou caution "bancaire" en couverture. Le Fonds intervient à hauteur de près de 80%, quand 20% reviennent à l’établissement bancaire qui porte à bout de bras le projet du promoteur culturel. La Côte d’Ivoire, le Burkina Faso, le Mali, le Sénégal et la Togo sont les pays concernés par le fonds dans sa première phase.
La FGIC, pendant cette tournée, rencontrera, entre autres, les patrons de presse, les organisations de la presse, les patrons des institutions bancaires, des acteurs culturels en ateliers et séances de travail. Plusieurs acteurs du monde culturel, au nombre desquels Wêrê-Wêrê Liking (promotrice de la fondation Ki-Yi); Joseph Niamkey de "Meiway organisation" ; Claude Bassolé, ont rehaussé la cérémonie de leur présence. Les échanges ont montré l’intérêt du monde culturel sur les détails de ce fonds.
Jean- Antoine Doudou
