Orange-Côte d`Ivoire Télécom, filiale de
France Télécom, a investi 38 millions d`euros pour relancer ses activités
après la crise post-électorale achevée en avril, notamment pour réparer ses
installations très endommagées, a-t-on appris vendredi auprès du groupe.
Le groupe, leader dans le pays pour la téléphonie fixe, mobile et internet,
"a investi de mai à septembre 25 milliards de FCFA (38 M EUR) dans le réseau",
a déclaré à l`AFP un responsable.
Les installations d`Orange ont subi des "dégâts considérables" durant la
crise (décembre 2010-avril 2011), selon le groupe, qui estime le total de ses
pertes (pertes d`exploitation et destructions matérielles) à "50,6 milliards
de FCFA" (76 M EUR). Il est l`une des entreprises les plus touchées par la
crise.
"Les actes de vandalisme ont touché les locaux administratifs, les agences
mais également les réseaux et les installations techniques", précise Orange.
Des secteurs de la capitale économique Abidjan restent actuellement privés
de téléphonie fixe, monopole de Côte d`Ivoire Télécom, en raison des dégâts
survenus notamment durant les combats du début avril et des actes de
vandalisme (vols de câbles, etc.) qui ont perduré après. Le réseau mobile
national, que se partagent Orange et quatre concurrents, connaît aussi des
défaillances.
Côte d`Ivoire Télécom emploie près de 1.500 personnes, pour un chiffre
d`affaires annuel de l`ordre de 500 millions d`euros. Le groupe est détenu
majoritairement par France Télécom (51%, contre 47% pour l`Etat ivoirien).
La crise post-électorale a fait au moins 3.000 morts et durement éprouvé la
première économie d`Afrique de l`Ouest francophone, notamment à cause des
pillages massifs commis durant la bataille d`Abidjan.
France Télécom, a investi 38 millions d`euros pour relancer ses activités
après la crise post-électorale achevée en avril, notamment pour réparer ses
installations très endommagées, a-t-on appris vendredi auprès du groupe.
Le groupe, leader dans le pays pour la téléphonie fixe, mobile et internet,
"a investi de mai à septembre 25 milliards de FCFA (38 M EUR) dans le réseau",
a déclaré à l`AFP un responsable.
Les installations d`Orange ont subi des "dégâts considérables" durant la
crise (décembre 2010-avril 2011), selon le groupe, qui estime le total de ses
pertes (pertes d`exploitation et destructions matérielles) à "50,6 milliards
de FCFA" (76 M EUR). Il est l`une des entreprises les plus touchées par la
crise.
"Les actes de vandalisme ont touché les locaux administratifs, les agences
mais également les réseaux et les installations techniques", précise Orange.
Des secteurs de la capitale économique Abidjan restent actuellement privés
de téléphonie fixe, monopole de Côte d`Ivoire Télécom, en raison des dégâts
survenus notamment durant les combats du début avril et des actes de
vandalisme (vols de câbles, etc.) qui ont perduré après. Le réseau mobile
national, que se partagent Orange et quatre concurrents, connaît aussi des
défaillances.
Côte d`Ivoire Télécom emploie près de 1.500 personnes, pour un chiffre
d`affaires annuel de l`ordre de 500 millions d`euros. Le groupe est détenu
majoritairement par France Télécom (51%, contre 47% pour l`Etat ivoirien).
La crise post-électorale a fait au moins 3.000 morts et durement éprouvé la
première économie d`Afrique de l`Ouest francophone, notamment à cause des
pillages massifs commis durant la bataille d`Abidjan.