Trois jours durant (du 26 au 28) septembre, enseignants et chercheurs du supérieur réfléchiront sur les nouvelles orientations stratégiques de la recherche scientifique en Côte d’Ivoire. C’est ce qui justifie leur retrait à l’Hôtel Belle Côte de la Riviera Palmeraie, le lundi 26 septembre 2011.
Ouverts sous les auspices d’Abouattier Manssila Edmée, directrice générale de l’enseignement supérieur, représentant le ministre Cissé Bacongo, ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, les travaux de réflexion sur les réformes du système de recherche connaîtront leur apothéose le 28 septembre. Après que le décor de la cérémonie a été planté par Moulot Annick, chef de cabinet du ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche scientifique, le professeur Mireille Dosso, présidente du comité scientifique, a fait les précisions suivantes : «l’objectif essentiel de ce séminaire est de mettre en place les outils indispensables à la nouvelle orientation de la recherche scientifique en Côte d’Ivoire». La méthodologie adoptée pour le déroulement des travaux, poursuit-elle, consiste en des conférences introductives puis des travaux en commissions. Lesquelles commissions au nombre de quatre, auront à charge, la restitution des travaux en plénière. Après avoir fait le diagnostic de la recherche scientifique en Côte d’Ivoire et retracé ses déboires qui datent des années 80, Abouattier Manssila Edmée a fait remarquer que la Côte d’Ivoire ne consacre que 980.000.000 FCFA à la recherche scientifique, soit 0,0125% de son PIB et 0,3% du budget, comparativement à des pays comme Israël et les USA, qui y affectent respectivement 4,3% et 2,7% de leurs PIB. Ceci dit, soucieux de faire de la recherche scientifique le principal levier du développement économique et social de la Côte d’Ivoire, ce séminaire a été initié par le ministère de tutelle pour plancher de façon efficiente et rationnelle sur les questions qui minent ce secteur.
ADedi
Ouverts sous les auspices d’Abouattier Manssila Edmée, directrice générale de l’enseignement supérieur, représentant le ministre Cissé Bacongo, ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, les travaux de réflexion sur les réformes du système de recherche connaîtront leur apothéose le 28 septembre. Après que le décor de la cérémonie a été planté par Moulot Annick, chef de cabinet du ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche scientifique, le professeur Mireille Dosso, présidente du comité scientifique, a fait les précisions suivantes : «l’objectif essentiel de ce séminaire est de mettre en place les outils indispensables à la nouvelle orientation de la recherche scientifique en Côte d’Ivoire». La méthodologie adoptée pour le déroulement des travaux, poursuit-elle, consiste en des conférences introductives puis des travaux en commissions. Lesquelles commissions au nombre de quatre, auront à charge, la restitution des travaux en plénière. Après avoir fait le diagnostic de la recherche scientifique en Côte d’Ivoire et retracé ses déboires qui datent des années 80, Abouattier Manssila Edmée a fait remarquer que la Côte d’Ivoire ne consacre que 980.000.000 FCFA à la recherche scientifique, soit 0,0125% de son PIB et 0,3% du budget, comparativement à des pays comme Israël et les USA, qui y affectent respectivement 4,3% et 2,7% de leurs PIB. Ceci dit, soucieux de faire de la recherche scientifique le principal levier du développement économique et social de la Côte d’Ivoire, ce séminaire a été initié par le ministère de tutelle pour plancher de façon efficiente et rationnelle sur les questions qui minent ce secteur.
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