Quels sont les moyens dont vos disposez pour conduire cette mission d’accompagnement des entreprises ?
Le Fiden est le Fonds ivoirien de développement de l’entreprise nationale. Il existe depuis 1999 et il a accompagné les Petites et moyennes entreprises, au cours des dix dernières années, en leur octroyant des prêts. Aujourd’hui, le fiden est riche d’un encours de 2 7OO OOO OOO de Fcfa, ce qui va lui permettre de poursuivre son appui à la création et au développement d’entreprises en Côte d’Ivoire. Nos autorités cherchent également des fonds auprès des bailleurs de fonds pour la création d’entreprises. Notre ambition est de satisfaire tous les jeunes et nous avons la compétence requise pour cela. Nous voulons faire en sorte que le Fiden intervienne dans tous les secteurs d’activité.
Quel bilan pouvez-vous faire des dix dernières années et qu’est-ce qui va changer et d’où viendra les fonds de la structure?
Le fiden a travaillé dans un contexte difficile marquée par la succession de crises. Il s’agissait donc pour la structure de faire en sorte que les entreprises continuent d’exister. Nous n’avions pas de ligne directrice de développement. Ainsi, chaque année, selon les orientations de la tutelle, la structure mettait en place des mesures pour soutenir ces entreprises. Aujourd’hui, nous sommes dans une dynamique de développement, de réhabilitation des entreprises sinistrées et de création de nouvelles.
Quelle procédure doit-on suivre pour avoir un appui du fiden quand on sait que beaucoup d’obstacles freinent l’élan de certains jeunes ?
Si un porteur de projet rencontre le Fiden, il sera conduit vers l’Institut ivoirien de l’entreprise pour finaliser son projet en faisant une étude de faisabilité. Cette étude nous revient et nous présentons le projet à notre comité de crédit qui statue pour donner le fonds nécessaire à la création de l’entreprise. Nous mettons l’accent sur les jeunes qui se regroupent pour créer une entreprise. Parce que nous pensons que plusieurs compétences réunies sur un même projet peuvent en faire un bon projet. Quant aux obstacles, il faut savoir qu’il y en a un minimum qu’il faut franchir pour créer une entreprise. Il faut un encadrement en amont et en aval. Il est important que des jeunes porteurs de projet puissent se faire encadrer par des structures comme l’Inie. C’est à ce prix que l’entreprise survivra.
K. A
Le Fiden est le Fonds ivoirien de développement de l’entreprise nationale. Il existe depuis 1999 et il a accompagné les Petites et moyennes entreprises, au cours des dix dernières années, en leur octroyant des prêts. Aujourd’hui, le fiden est riche d’un encours de 2 7OO OOO OOO de Fcfa, ce qui va lui permettre de poursuivre son appui à la création et au développement d’entreprises en Côte d’Ivoire. Nos autorités cherchent également des fonds auprès des bailleurs de fonds pour la création d’entreprises. Notre ambition est de satisfaire tous les jeunes et nous avons la compétence requise pour cela. Nous voulons faire en sorte que le Fiden intervienne dans tous les secteurs d’activité.
Quel bilan pouvez-vous faire des dix dernières années et qu’est-ce qui va changer et d’où viendra les fonds de la structure?
Le fiden a travaillé dans un contexte difficile marquée par la succession de crises. Il s’agissait donc pour la structure de faire en sorte que les entreprises continuent d’exister. Nous n’avions pas de ligne directrice de développement. Ainsi, chaque année, selon les orientations de la tutelle, la structure mettait en place des mesures pour soutenir ces entreprises. Aujourd’hui, nous sommes dans une dynamique de développement, de réhabilitation des entreprises sinistrées et de création de nouvelles.
Quelle procédure doit-on suivre pour avoir un appui du fiden quand on sait que beaucoup d’obstacles freinent l’élan de certains jeunes ?
Si un porteur de projet rencontre le Fiden, il sera conduit vers l’Institut ivoirien de l’entreprise pour finaliser son projet en faisant une étude de faisabilité. Cette étude nous revient et nous présentons le projet à notre comité de crédit qui statue pour donner le fonds nécessaire à la création de l’entreprise. Nous mettons l’accent sur les jeunes qui se regroupent pour créer une entreprise. Parce que nous pensons que plusieurs compétences réunies sur un même projet peuvent en faire un bon projet. Quant aux obstacles, il faut savoir qu’il y en a un minimum qu’il faut franchir pour créer une entreprise. Il faut un encadrement en amont et en aval. Il est important que des jeunes porteurs de projet puissent se faire encadrer par des structures comme l’Inie. C’est à ce prix que l’entreprise survivra.
K. A