NIAMEY,Plus de 600 Nigériens "en situation irrégulière", dont des femmes et des enfants, ont été expulsés depuis le 28 septembre de l'Algérie voisine, a annoncé l'ONU dimanche.
"Une première vague de 232 Nigériens est arrivée le 28 septembre à Arlit (cité minière du Nord nigérien) et une seconde vague de 387 autres est arrivée samedi", indique dans un communiqué le Bureau des affaires humanitaires de l'ONU (OCHA) à Niamey.
Parmi les refoulés figurent 37 femmes et 59 enfants, selon Ocha.
L'organisation, qui dit "ne pas connaître" les raisons des expulsions, précise qu'elles "visaient les seules personnes en situation irrégulière".
Les expulsions de Nigériens d'Algérie sont très rares.
Selon des observateurs, cette décision serait largement liée à la crainte d'Alger d'une commettant des rapts, essentiellement d'Occidentaux, et divers trafics.
L'Organisation internationale pour les migrations (OIM) a acheminé les refoulés de la frontière algérienne vers ses centres d'Arlit, où Médecins sans frontières (MSF) assure leur prise en charge sanitaire.
bh/tmo/jlh
"Une première vague de 232 Nigériens est arrivée le 28 septembre à Arlit (cité minière du Nord nigérien) et une seconde vague de 387 autres est arrivée samedi", indique dans un communiqué le Bureau des affaires humanitaires de l'ONU (OCHA) à Niamey.
Parmi les refoulés figurent 37 femmes et 59 enfants, selon Ocha.
L'organisation, qui dit "ne pas connaître" les raisons des expulsions, précise qu'elles "visaient les seules personnes en situation irrégulière".
Les expulsions de Nigériens d'Algérie sont très rares.
Selon des observateurs, cette décision serait largement liée à la crainte d'Alger d'une commettant des rapts, essentiellement d'Occidentaux, et divers trafics.
L'Organisation internationale pour les migrations (OIM) a acheminé les refoulés de la frontière algérienne vers ses centres d'Arlit, où Médecins sans frontières (MSF) assure leur prise en charge sanitaire.
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