Le gouvernement d’Alassane Ouattara a inculpé 118 personnalités de l’ancien régime, Laurent et Simone Gbagbo inclus, mais strictement personne dans son propre camp. Pourtant, le massacre de Duékoué, perpétré le 29 mars par les Forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI) pro-Ouattara et leurs alliés dozos, des chasseurs traditionnels, représente l’une des plus graves violations des droits de l’homme commises durant les cinq mois de crise post-électorale.
A Duékoué, les survivants ou les familles des victimes «vivent encore aujourd’hui dans un camp humanitaire installé à la sortie de la ville, et ont trop peur ou sont dans l’impossibilité de rentrer chez eux», dénonce Human Rights Watch (HRW).
Les noms des responsables
Cette organisation américaine... suite de l'article sur Slate Afrique
A Duékoué, les survivants ou les familles des victimes «vivent encore aujourd’hui dans un camp humanitaire installé à la sortie de la ville, et ont trop peur ou sont dans l’impossibilité de rentrer chez eux», dénonce Human Rights Watch (HRW).
Les noms des responsables
Cette organisation américaine... suite de l'article sur Slate Afrique