“C’est avec un réel plaisir, doublé d’une vive émotion que je viens présider ce jour, l’inauguration du pont 7ème - 9ème Tranches. En effet, ce lundi 17 octobre 2011 est un jour mémorable à plus d’un titre, pour les populations du district d’Abidjan, en particulier celles de Cocody. Souvenez-vous, il y a plus d’un an que ce projet a été lancé, avec le concours déterminant de la Banque mondiale. Au moment où d’importantes ressources sont mises à la disposition de la Côte d’Ivoire par les bailleurs de fonds et les pays amis, je ne crois pas pouvoir me dispenser d’appeler votre attention sur l’importance du progrès qui s’accomplit sous nos yeux et sur le mérite des hommes à qui nous le devons.
Le développement de notre pays ne saurait être dissocié de la modernisation et de la construction d’infrastructures de base.
A ce stade de mon propos, je voudrais vous inviter à avoir une pensée pour l’ancien ministre des Infrastructures économiques dont la disparition tragique a plongé toute la population dans l’émoi. Je parle de M. Jean-Michel Moulod. Ce fut un grand serviteur de l’Etat. Mesdames et messieurs, pour en revenir à l’évènement qui nous rassemble ce matin, et qui préfigure des actions que le gouvernement que je conduis, entend entreprendre pour la mise en œuvre du programme du président de la République SEM Alassane Ouattara. Je voudrais indiquer, à mon humble niveau, j’ai toujours considéré que le développement de notre pays ne saurait être dissocié de la modernisation et de la construction d’infrastructures de base. C’est donc avec une vive satisfaction, je dirai plus, avec une joie profonde, que je m’associe à l’inauguration de ce pont que nous livre, aujourd’hui, le Projet d’urgence d’infrastructures urbaines, comme un brillant accompte sur l’œuvre totale de remise à niveau des infrastructures de la vitrine de notre pays qu’est le district d’Abidjan, et dont l’échangeur de la Riviera II, qui démarre très bientôt, est un maillon essentiel. Mesdames et messieurs, nous savons que, partout où ont pénétré les ponts, ils ont apporté une vie nouvelle et de nouvelles facilités pour l’existence. Nous savons qu’une rapide circulation des hommes et des choses, des idées et des produits, fait autant pour l’instruction et la prospérité d’un pays qu’une bonne circulation du sang dans les veines, pour la vigueur et la santé du corps. Nous savons tous, par conséquent, que les ponts sont de puissants véhicules de richesses et de lumières. Finie donc l’angoisse de nos concitoyens, hommes, femmes et enfants qui peinaient pour atteindre l’autre quartier, pourtant si proche.
Qui ne voit que ce raccourcissement des distances, cette économie de peines et de soins, aura pour conséquence de rapprocher les habitants du quartier entre eux et d’activer le progrès, qui se dégage du mélange des idées et des intérêts. Le pont, en offrant des transports rapides et à moindre coût, permettra de l’abolir sur un grand nombre de points, de la concentrer sur d’autres, et d’amener ainsi un abaissement du prix de ventes des denrées. C’est donc un nouvel horizon qui s’ouvre dans cette commune qui nous rassemble ce matin. Saluons donc l’instrument de tant de bienfaits, applaudissons à l’achèvement de ce pont qui, en multipliant les rapports sociaux et les relations d’affaires, en ouvrant de nouveaux débouchés , en resserrant les liens politiques et de famille, va renouveler la face du pays.
La Côte d’Ivoire a besoin d’hommes absolument dévoués à ses intérêts, jouissant d’une grande influence personnelle et de la sympathie des pouvoirs publics, capables par leur position de lever bien des obstacles et, par l’ascendant de leur esprit, d’entraîner bien des opinions. Ces hommes, elle les a trouvés, entre autres, dans la personne de Monsieur Madani Tall, directeur des opérations de la Banque mondiale en Côte d’Ivoire et de tous ceux qui sans relâche ont soutenu ce projet. Ils ne sont pas les seuls, sans doute, à qui ce résultat doit être attribué, le ministre des Infrastructures économiques, le Projet PUIUR et son coordonnateur, l’ensemble des acteurs (entreprise, structures et services de l’Etat, etc.) associés à la réalisation de cette œuvre hautement bienfaitrice. Ils y ont tous contribué, à des degrés divers, chacun dans la sphère qui lui est propre.
Les ponts sont de puissants véhicules de richesses et de lumières.
Tout cela est gravé dans les souvenirs de la population qui, un peu méfiante au début, se rend aujourd’hui compte du service énorme que vous lui avez rendu, et de ce que vous pouvez encore lui rendre. Je vous remercie donc pour cette population, et je le fais avec plaisir, car mieux que personne peut-être j’ai pu juger, en voyant les choses de plus près, de la largeur de vue et de la détermination avec lesquelles vous remplissez votre mission. Je voudrais saluer une fois de plus la présence des autorités religieuses et traditionnelles qui nous entourent de leur bénédiction. Je ne saurai clore mon propos, sans remercier encore une fois vous tous qui êtes venus et qui avez rehaussé de votre présence l’éclat de cette cérémonie. C’est sur ces mots que je déclare solennellement ouvert le pont 7ème et 9ème tranches”.
Vive le développement pour que vive la Côte d’Ivoire !
Le développement de notre pays ne saurait être dissocié de la modernisation et de la construction d’infrastructures de base.
A ce stade de mon propos, je voudrais vous inviter à avoir une pensée pour l’ancien ministre des Infrastructures économiques dont la disparition tragique a plongé toute la population dans l’émoi. Je parle de M. Jean-Michel Moulod. Ce fut un grand serviteur de l’Etat. Mesdames et messieurs, pour en revenir à l’évènement qui nous rassemble ce matin, et qui préfigure des actions que le gouvernement que je conduis, entend entreprendre pour la mise en œuvre du programme du président de la République SEM Alassane Ouattara. Je voudrais indiquer, à mon humble niveau, j’ai toujours considéré que le développement de notre pays ne saurait être dissocié de la modernisation et de la construction d’infrastructures de base. C’est donc avec une vive satisfaction, je dirai plus, avec une joie profonde, que je m’associe à l’inauguration de ce pont que nous livre, aujourd’hui, le Projet d’urgence d’infrastructures urbaines, comme un brillant accompte sur l’œuvre totale de remise à niveau des infrastructures de la vitrine de notre pays qu’est le district d’Abidjan, et dont l’échangeur de la Riviera II, qui démarre très bientôt, est un maillon essentiel. Mesdames et messieurs, nous savons que, partout où ont pénétré les ponts, ils ont apporté une vie nouvelle et de nouvelles facilités pour l’existence. Nous savons qu’une rapide circulation des hommes et des choses, des idées et des produits, fait autant pour l’instruction et la prospérité d’un pays qu’une bonne circulation du sang dans les veines, pour la vigueur et la santé du corps. Nous savons tous, par conséquent, que les ponts sont de puissants véhicules de richesses et de lumières. Finie donc l’angoisse de nos concitoyens, hommes, femmes et enfants qui peinaient pour atteindre l’autre quartier, pourtant si proche.
Qui ne voit que ce raccourcissement des distances, cette économie de peines et de soins, aura pour conséquence de rapprocher les habitants du quartier entre eux et d’activer le progrès, qui se dégage du mélange des idées et des intérêts. Le pont, en offrant des transports rapides et à moindre coût, permettra de l’abolir sur un grand nombre de points, de la concentrer sur d’autres, et d’amener ainsi un abaissement du prix de ventes des denrées. C’est donc un nouvel horizon qui s’ouvre dans cette commune qui nous rassemble ce matin. Saluons donc l’instrument de tant de bienfaits, applaudissons à l’achèvement de ce pont qui, en multipliant les rapports sociaux et les relations d’affaires, en ouvrant de nouveaux débouchés , en resserrant les liens politiques et de famille, va renouveler la face du pays.
La Côte d’Ivoire a besoin d’hommes absolument dévoués à ses intérêts, jouissant d’une grande influence personnelle et de la sympathie des pouvoirs publics, capables par leur position de lever bien des obstacles et, par l’ascendant de leur esprit, d’entraîner bien des opinions. Ces hommes, elle les a trouvés, entre autres, dans la personne de Monsieur Madani Tall, directeur des opérations de la Banque mondiale en Côte d’Ivoire et de tous ceux qui sans relâche ont soutenu ce projet. Ils ne sont pas les seuls, sans doute, à qui ce résultat doit être attribué, le ministre des Infrastructures économiques, le Projet PUIUR et son coordonnateur, l’ensemble des acteurs (entreprise, structures et services de l’Etat, etc.) associés à la réalisation de cette œuvre hautement bienfaitrice. Ils y ont tous contribué, à des degrés divers, chacun dans la sphère qui lui est propre.
Les ponts sont de puissants véhicules de richesses et de lumières.
Tout cela est gravé dans les souvenirs de la population qui, un peu méfiante au début, se rend aujourd’hui compte du service énorme que vous lui avez rendu, et de ce que vous pouvez encore lui rendre. Je vous remercie donc pour cette population, et je le fais avec plaisir, car mieux que personne peut-être j’ai pu juger, en voyant les choses de plus près, de la largeur de vue et de la détermination avec lesquelles vous remplissez votre mission. Je voudrais saluer une fois de plus la présence des autorités religieuses et traditionnelles qui nous entourent de leur bénédiction. Je ne saurai clore mon propos, sans remercier encore une fois vous tous qui êtes venus et qui avez rehaussé de votre présence l’éclat de cette cérémonie. C’est sur ces mots que je déclare solennellement ouvert le pont 7ème et 9ème tranches”.
Vive le développement pour que vive la Côte d’Ivoire !