Jean-François Copé, chef du parti du président français Nicolas Sarkozy, a salué samedi à Abidjan un "vent d`optimisme" en Côte d`Ivoire six mois après une sanglante crise post-électorale, à l`issue d`un entretien avec le chef d`Etat ivoirien Alassane Ouattara.
"Alors que nous nous approchons de la fin de cette année 2011 qui a été une année charnière, je sens ici un vent de confiance, d`optimisme vraiment très remarquable", a déclaré devant la presse le secrétaire général de l`Union pour un mouvement populaire (UMP), principale formation de la droite française.
M. Ouattara a exposé ses "grands projets" du "point de vue de la sécurité mais aussi de la démocratie avec le grand rendez-vous des élections législatives, et du point de vue économique parce que c`est l`heure de nouer des partenariats pour retrouver le chemin de la croissance économique", a poursuivi M. Copé, le président ivoirien à ses côtés.
"Pour ce qui concerne la France, nous sommes très heureux de pouvoir apporter, à la place qui est la nôtre, cette contribution à ce vent de démocratie et de développement économique", a-t-il ajouté.
Quelque 3.000 personnes ont été tuées durant la crise de décembre 2010-avril 2011, née du refus de l`ex-président Laurent Gbagbo de reconnaître sa défaite au scrutin de novembre 2010. M. Gbagbo a été arrêté le 11 avril après deux semaines de guerre par les combattants pro-Ouattara, qui ont reçu l`appui décisif de la force française Licorne.
Après une décennie Gbagbo marquée par de vives tensions, les relations entre Paris et son ancienne colonie sont depuis lors au beau fixe avec la reprise des partenariats, militaire et économique notamment.
A quelques mois de la présidentielle de mai 2012 en France, pour laquelle Nicolas Sarkozy est en mauvaise posture sur fond de crise économique, la visite de M. Copé est aussi tournée vers les Français de Côte d`Ivoire. Il a tenu une réunion publique vendredi soir dans un hôtel d`Abidjan, à son arrivée pour son séjour de 24 heures.
"Alors que nous nous approchons de la fin de cette année 2011 qui a été une année charnière, je sens ici un vent de confiance, d`optimisme vraiment très remarquable", a déclaré devant la presse le secrétaire général de l`Union pour un mouvement populaire (UMP), principale formation de la droite française.
M. Ouattara a exposé ses "grands projets" du "point de vue de la sécurité mais aussi de la démocratie avec le grand rendez-vous des élections législatives, et du point de vue économique parce que c`est l`heure de nouer des partenariats pour retrouver le chemin de la croissance économique", a poursuivi M. Copé, le président ivoirien à ses côtés.
"Pour ce qui concerne la France, nous sommes très heureux de pouvoir apporter, à la place qui est la nôtre, cette contribution à ce vent de démocratie et de développement économique", a-t-il ajouté.
Quelque 3.000 personnes ont été tuées durant la crise de décembre 2010-avril 2011, née du refus de l`ex-président Laurent Gbagbo de reconnaître sa défaite au scrutin de novembre 2010. M. Gbagbo a été arrêté le 11 avril après deux semaines de guerre par les combattants pro-Ouattara, qui ont reçu l`appui décisif de la force française Licorne.
Après une décennie Gbagbo marquée par de vives tensions, les relations entre Paris et son ancienne colonie sont depuis lors au beau fixe avec la reprise des partenariats, militaire et économique notamment.
A quelques mois de la présidentielle de mai 2012 en France, pour laquelle Nicolas Sarkozy est en mauvaise posture sur fond de crise économique, la visite de M. Copé est aussi tournée vers les Français de Côte d`Ivoire. Il a tenu une réunion publique vendredi soir dans un hôtel d`Abidjan, à son arrivée pour son séjour de 24 heures.