La Côte d’Ivoire compte 75 entreprises certifiées sur un total d’environ 5000 entreprises formelles. Or tant que les autres entreprises ne s’engagent pas dans la démarche qualité elles ne peuvent être compétitives au plan local surtout international. C’est le défi que doivent relever le secteur public et privé en vue de contribuer au développement de la Côte d’Ivoire. C’est la problématique du 2ème Salon de la Qualité qui s’est ouvert, le mardi 25 octobre dernier, à l’immeuble CRRAE UMOA, à Abidjan-Plateau.
« Promouvoir une économie performante, aux standards internationaux » est le thème de ce salon. Le président de la Chambre de commerce et d’industrie de Côte d’Ivoire (CCICI), Jean Louis Billon, président du salon, a posé la question de savoir pourquoi la Côte d’Ivoire prend part au championnat du monde de football et est à la traîne dans les autres domaines d’activités économiques et sociales. L’adhésion de la Côte d’Ivoire à l’accord APE est une initiative qui rentre, selon lui, dans les standards internationaux. Et que les inconvénients de cet accord sont à minimiser. « Nous devons être un modèle et nous comparer aux meilleurs », a-t-il dit. Et d’ajouter : « La qualité et la compétitivité s’imposent aux entreprises et à l’administration publique dans le cadre de la mondialisation marquée par la concurrence ».
Le directeur de cabinet adjoint du ministère de l’Industrie et de la Promotion du Secteur privé, Bakayoko N’Go a, lui, ajouté que la qualité permet de pérenniser l’entreprise en s’inscrivant dans les standards internationaux. Et que c’est la préoccupation de l’Etat à partir du secrétariat national à la Bonne gouvernance et au renforcement des capacités.
Le directeur général CNRA, Dr Yo Tiémoko, sponsor officiel du salon a indiqué que le nombre élevé d’entreprise qui n’ont pas la certification qualité constitue un handicap pour l’économie ivoirienne. Il s’est réjoui des performances de son entreprise qui a une marque déposé IRHO La Mé reconnu mondialement en matière de production de semence de palmier à huile.
Le directeur du Salon, Lucien Agbia lui a dénoncé la montée de la fraude, la contrebande, la contrefaçon qui menacent l’économie.
Gomon Edmond
« Promouvoir une économie performante, aux standards internationaux » est le thème de ce salon. Le président de la Chambre de commerce et d’industrie de Côte d’Ivoire (CCICI), Jean Louis Billon, président du salon, a posé la question de savoir pourquoi la Côte d’Ivoire prend part au championnat du monde de football et est à la traîne dans les autres domaines d’activités économiques et sociales. L’adhésion de la Côte d’Ivoire à l’accord APE est une initiative qui rentre, selon lui, dans les standards internationaux. Et que les inconvénients de cet accord sont à minimiser. « Nous devons être un modèle et nous comparer aux meilleurs », a-t-il dit. Et d’ajouter : « La qualité et la compétitivité s’imposent aux entreprises et à l’administration publique dans le cadre de la mondialisation marquée par la concurrence ».
Le directeur de cabinet adjoint du ministère de l’Industrie et de la Promotion du Secteur privé, Bakayoko N’Go a, lui, ajouté que la qualité permet de pérenniser l’entreprise en s’inscrivant dans les standards internationaux. Et que c’est la préoccupation de l’Etat à partir du secrétariat national à la Bonne gouvernance et au renforcement des capacités.
Le directeur général CNRA, Dr Yo Tiémoko, sponsor officiel du salon a indiqué que le nombre élevé d’entreprise qui n’ont pas la certification qualité constitue un handicap pour l’économie ivoirienne. Il s’est réjoui des performances de son entreprise qui a une marque déposé IRHO La Mé reconnu mondialement en matière de production de semence de palmier à huile.
Le directeur du Salon, Lucien Agbia lui a dénoncé la montée de la fraude, la contrebande, la contrefaçon qui menacent l’économie.
Gomon Edmond
