La primature organise jeudi et vendredi à Grand-Bassam un séminaire de réflexion sur l’élaboration d’un cadre de coordination des activités de réinsertion et de réintégration des populations à risque en Côte d’Ivoire.
Le séminaire dont le thème est "Définition d’un cadre de coordination des activités de réinsertion en Côte d’Ivoire" réunira durant deux jours une centaine de personnes issues des institutions, ministères techniques et autres structures partie prenante au processus de réinsertion et de réintégration amorcé depuis 2003 avec la mise en place de la défunte commission nationale de démobilisation, désarmement, réinsertion (CNDDR), selon les termes de référence (TDF) du séminaire parvenus à l’AIP.
Dans un contexte marqué par les stigmates d’une longue crise socio-politico-militaire dans toutes les régions du pays, le gouvernement ivoirien a inscrit, au centre de ses priorités, les questions de reconstruction post-crise, de la réinsertion et de l’emploi des couches sociales à risque.
Pour rendre efficace la politique de réinsertion qui est corrélative à celle de redéploiement des services publics dans les ex-zones centre, nord et ouest (CNO), il est urgent de conduire une réflexion concertée pour définir un cadre de coordination optimale des activités de désarmement, démobilisation, réinsertion et de réintégration aussi bien du gouvernement, des partenaires techniques au développement que celles des organisations de la société civile sur le terrain, justifie-t-on la tenue du séminaire.
Au cours de l’atelier, dont les objectifs spécifiques sont, entre autres, de définir un cadre opérationnel de mise en œuvre du désarmement et de la démobilisation des ex-combattants et définir les axes majeurs d’une politique nationale de réinsertion et de réintégration, sera marqué par deux communications, à savoir "La problématique du DDR dans le contexte de reconstruction post-crise" et "Les enjeux et défis de la réinsertion et de ka réintégration pour la reconstruction post-crise en Côte d’Ivoire", animées par deux ministres du gouvernement Soro, note-t-on.
Le séminaire dont le thème est "Définition d’un cadre de coordination des activités de réinsertion en Côte d’Ivoire" réunira durant deux jours une centaine de personnes issues des institutions, ministères techniques et autres structures partie prenante au processus de réinsertion et de réintégration amorcé depuis 2003 avec la mise en place de la défunte commission nationale de démobilisation, désarmement, réinsertion (CNDDR), selon les termes de référence (TDF) du séminaire parvenus à l’AIP.
Dans un contexte marqué par les stigmates d’une longue crise socio-politico-militaire dans toutes les régions du pays, le gouvernement ivoirien a inscrit, au centre de ses priorités, les questions de reconstruction post-crise, de la réinsertion et de l’emploi des couches sociales à risque.
Pour rendre efficace la politique de réinsertion qui est corrélative à celle de redéploiement des services publics dans les ex-zones centre, nord et ouest (CNO), il est urgent de conduire une réflexion concertée pour définir un cadre de coordination optimale des activités de désarmement, démobilisation, réinsertion et de réintégration aussi bien du gouvernement, des partenaires techniques au développement que celles des organisations de la société civile sur le terrain, justifie-t-on la tenue du séminaire.
Au cours de l’atelier, dont les objectifs spécifiques sont, entre autres, de définir un cadre opérationnel de mise en œuvre du désarmement et de la démobilisation des ex-combattants et définir les axes majeurs d’une politique nationale de réinsertion et de réintégration, sera marqué par deux communications, à savoir "La problématique du DDR dans le contexte de reconstruction post-crise" et "Les enjeux et défis de la réinsertion et de ka réintégration pour la reconstruction post-crise en Côte d’Ivoire", animées par deux ministres du gouvernement Soro, note-t-on.