Monsieur le Ministre de La Poste et des Technologies de l'information et de la Communication,
M. le Ministre de la Culture et de la Francophonie, PCA sortant de la Poste de Côte d'Ivoire,
Mesdames et Messieurs, en vos grades et qualités,
Avant tout autre propos, nous voudrions, qu'il nous soit permis:
-Au nom des neuf (9) Administrateurs que nous sommes de rendre hommage au chef de l'Etat, le président de la République, Sem Alassane Ouattara, pour l'honneur qu'il nous fait en nous nommant au Conseil d'administration de La Poste de Côte d'Ivoire;
-de traduire notre reconnaissance au Premier ministre,
Guillaume Soro, pour la confiance qu'il place en nous;
-de saluer notre ministre de tutelle, M. Koné Bruno, ministre de La Poste et des Technologies de l'information et de la Communication, pour sa sollicitude depuis notre nomination;
-de remercier la Primature, tous les ministères et la société civile qui ont désigné des représentants au Conseil d'administration de La Poste de Côte d'Ivoire;
-de saluer aussi tous les présidents et directeurs généraux, de la presse publique et privée, des organes de régulation et d'autorégulation de la presse, qui apportent leur soutien à l'un des leurs. Nous savons compter sur eux pour nous aider dans la rude tâche qui nous attend ;
-remercier, une fois encore, mes collègues, membres du Conseil d'administration de La Poste de Côte d'Ivoire, pour avoir porté leur choix sur ma modeste personne, hier, dans cette même salle pour être le président de notre Institution;
-et enfin, de réserver les derniers mots de remerciements à notre prédécesseur.
Nous voudrions adresser nos chaleureuses félicitations à notre frère Maurice Bandaman Kouakou, pour sa promotion en tant que ministre de la Culture et de la Francophonie. S'il est, aujourd'hui, ministre de la
République, c'est qu'il a du talent et du mérite: il a été, avant d'être ministre, Président du Conseil d'administration de la Radiodiffusion télévision ivoirienne (Rti), et dernièrement, celui de La Poste de Côte d'Ivoire.
Nous voudrions, aussi, le remercier pour le travail abattu, en si peu de temps, et dans des conditions difficiles, pour des raisons évidentes que nous savons, tous. La Côte d'Ivoire, notre pays, après 10 ans de crise, est à la recherche de ses repères pour retrouver son lustre d'antan. Sincèrement, à notre niveau, nous considérons le ministre Bandaman comme un repère, mieux, comme un conseiller vers qui nous irons de temps en temps.
Aujourd'hui, nous avons le privilège, grâce à la sollicitude du chef de l'Etat, de venir après lui à la tête du Conseil d'administration de La Poste de Côte d'Ivoire. Dès lors, notre action s'inscrira dans la continuité de ce qu'il aura déjà fait et bien fait. Notre disposition d'esprit, en venant après un devancier, est faite de simplicité et de bon sens et se résume dans cette problématique: Que vais-je faire pour quantifier qualitativement ce que le PCA
Maurice BANDAMAN laisse comme héritage?
C'est un devoir qui relève de la continuité de tout Etat qui se veut moderne. La continuité de l'Etat est comme l'héritage dans nos traditions: si vous ne pouvez rien ajouter à ce que vous avez trouvé, tâchez surtout de ne pas détruire l'existant. Mais M. le PCA sortant, nous promettons d’ajouter un plus à l'héritage que vous nous laissez.
Mesdames et Messieurs, en vos grades et qualités,
Dans cette logique de la continuité, nous voudrions dire aux partenaires sociaux que sont les travailleurs et les syndicats de travailleurs, et à tous nos collaborateurs que notre outil pour réaliser le redressement de La Poste de Côte d’Ivoire sera, de tout temps et en tout lieu, le dialogue Social. La communication passera entre nous. Dans la société, il faut avoir l'intelligence de se parler. Aussi, entendons-nous faire du dialogue social notre cheval de bataille. Il n'y a pas de problème au monde qui ne puisse trouver de solution par le dialogue. C'est dire, en un mot comme en mille, que l'Administrateur de type nouveau doit être une femme ou un homme d'écoute et d'éveil dont les armes premières de travail seront la patience et le dialogue pour sauvegarder l'existant, et relever le défi de faire mieux.
Pour terminer,
Mesdames et Messieurs, en vos Grades et Qualités
Nous dirions que nous sommes en mission. Le président de la République de Côte d’Ivoire, Sem Alassane
Ouattara, nous investit de sa confiance pour relever La Poste de Côte d'Ivoire couchée, en synergie avec notre ministère de tutelle et la Direction générale de l'entreprise. Pour réussir notre mission, il s'agira, pour nous Administrateurs, dans la continuité, d'avoir l'ingéniosité de nous inscrire dans la grande fièvre de reconstruction qui s'est emparée de la Côte d'Ivoire pour que, d'ici quelques années, nous fassions de notre pays, un pays émergent et de la Poste de la Côte d'Ivoire un maillon essentiel de communication. Cela est possible. Par le travail !
Je vous remercie.
M. le Ministre de la Culture et de la Francophonie, PCA sortant de la Poste de Côte d'Ivoire,
Mesdames et Messieurs, en vos grades et qualités,
Avant tout autre propos, nous voudrions, qu'il nous soit permis:
-Au nom des neuf (9) Administrateurs que nous sommes de rendre hommage au chef de l'Etat, le président de la République, Sem Alassane Ouattara, pour l'honneur qu'il nous fait en nous nommant au Conseil d'administration de La Poste de Côte d'Ivoire;
-de traduire notre reconnaissance au Premier ministre,
Guillaume Soro, pour la confiance qu'il place en nous;
-de saluer notre ministre de tutelle, M. Koné Bruno, ministre de La Poste et des Technologies de l'information et de la Communication, pour sa sollicitude depuis notre nomination;
-de remercier la Primature, tous les ministères et la société civile qui ont désigné des représentants au Conseil d'administration de La Poste de Côte d'Ivoire;
-de saluer aussi tous les présidents et directeurs généraux, de la presse publique et privée, des organes de régulation et d'autorégulation de la presse, qui apportent leur soutien à l'un des leurs. Nous savons compter sur eux pour nous aider dans la rude tâche qui nous attend ;
-remercier, une fois encore, mes collègues, membres du Conseil d'administration de La Poste de Côte d'Ivoire, pour avoir porté leur choix sur ma modeste personne, hier, dans cette même salle pour être le président de notre Institution;
-et enfin, de réserver les derniers mots de remerciements à notre prédécesseur.
Nous voudrions adresser nos chaleureuses félicitations à notre frère Maurice Bandaman Kouakou, pour sa promotion en tant que ministre de la Culture et de la Francophonie. S'il est, aujourd'hui, ministre de la
République, c'est qu'il a du talent et du mérite: il a été, avant d'être ministre, Président du Conseil d'administration de la Radiodiffusion télévision ivoirienne (Rti), et dernièrement, celui de La Poste de Côte d'Ivoire.
Nous voudrions, aussi, le remercier pour le travail abattu, en si peu de temps, et dans des conditions difficiles, pour des raisons évidentes que nous savons, tous. La Côte d'Ivoire, notre pays, après 10 ans de crise, est à la recherche de ses repères pour retrouver son lustre d'antan. Sincèrement, à notre niveau, nous considérons le ministre Bandaman comme un repère, mieux, comme un conseiller vers qui nous irons de temps en temps.
Aujourd'hui, nous avons le privilège, grâce à la sollicitude du chef de l'Etat, de venir après lui à la tête du Conseil d'administration de La Poste de Côte d'Ivoire. Dès lors, notre action s'inscrira dans la continuité de ce qu'il aura déjà fait et bien fait. Notre disposition d'esprit, en venant après un devancier, est faite de simplicité et de bon sens et se résume dans cette problématique: Que vais-je faire pour quantifier qualitativement ce que le PCA
Maurice BANDAMAN laisse comme héritage?
C'est un devoir qui relève de la continuité de tout Etat qui se veut moderne. La continuité de l'Etat est comme l'héritage dans nos traditions: si vous ne pouvez rien ajouter à ce que vous avez trouvé, tâchez surtout de ne pas détruire l'existant. Mais M. le PCA sortant, nous promettons d’ajouter un plus à l'héritage que vous nous laissez.
Mesdames et Messieurs, en vos grades et qualités,
Dans cette logique de la continuité, nous voudrions dire aux partenaires sociaux que sont les travailleurs et les syndicats de travailleurs, et à tous nos collaborateurs que notre outil pour réaliser le redressement de La Poste de Côte d’Ivoire sera, de tout temps et en tout lieu, le dialogue Social. La communication passera entre nous. Dans la société, il faut avoir l'intelligence de se parler. Aussi, entendons-nous faire du dialogue social notre cheval de bataille. Il n'y a pas de problème au monde qui ne puisse trouver de solution par le dialogue. C'est dire, en un mot comme en mille, que l'Administrateur de type nouveau doit être une femme ou un homme d'écoute et d'éveil dont les armes premières de travail seront la patience et le dialogue pour sauvegarder l'existant, et relever le défi de faire mieux.
Pour terminer,
Mesdames et Messieurs, en vos Grades et Qualités
Nous dirions que nous sommes en mission. Le président de la République de Côte d’Ivoire, Sem Alassane
Ouattara, nous investit de sa confiance pour relever La Poste de Côte d'Ivoire couchée, en synergie avec notre ministère de tutelle et la Direction générale de l'entreprise. Pour réussir notre mission, il s'agira, pour nous Administrateurs, dans la continuité, d'avoir l'ingéniosité de nous inscrire dans la grande fièvre de reconstruction qui s'est emparée de la Côte d'Ivoire pour que, d'ici quelques années, nous fassions de notre pays, un pays émergent et de la Poste de la Côte d'Ivoire un maillon essentiel de communication. Cela est possible. Par le travail !
Je vous remercie.
