Monsieur le ministre,
Je voudrais, dès l’entame de mon propos, vous remercier pour votre présence dans notre pays, accompagné d’une si importante délégation, mais également, pour cette marque de sollicitude dont vous êtes porteur et qui traduit la volonté du Gouvernement français de nous appuyer sur le chemin de la reconstruction de notre pays.
Les rencontres que nous avons eues dans votre pays nous ont permis, et je le crois, d’entrevoir de bonnes perspectives de coopération entre nos deux départements ministériels.
Je voudrais, non seulement m’en féliciter, mais, aussi me réjouir de ce que vous ayez si rapidement accepté mon invitation malgré votre agenda que je sais très chargé.
Monsieur le Ministre,
Au sortir de la crise postélectorale, la Côte d’Ivoire s’est retrouvée avec un système de sécurité totalement affaissé, laissant les populations dans le doute et la peur.
La mobilisation des énergies pour le relèvement et la remontée en puissance de l’opérationnalité de nos forces de police a été l’une des priorités du Président de la République accompagné, en cela, par les forces Onusiennes et françaises dont je voudrais saluer le grand appui à nos côtés.
Le peuple français et son Gouvernement vont encore marquer de façon concrète, par ce concours que nous allons réceptionner tout à l’heure, la solidité du lien de coopération qui unit la France et la Côte d’Ivoire et dont la qualité et la profondeur en ont fait un modèle réussi.
Mesdames et Messieurs,
La cérémonie de ce jour, qui s’inscrit dans le cadre de la lutte contre l’insécurité, est une bonne occasion d’affirmer notre détermination à persévérer dans la voie qui nous conduit à minimiser les effets du banditisme dans notre société.
Elle traduit également, est-il encore besoin de le relever, la volonté et l’engagement de l’Etat à améliorer les conditions de vie et de travail de ses agents en général et de ceux de la sécurité en particulier.
En effet, l’on ne dira jamais assez que la sécurité demeure la pierre angulaire de tout développement harmonieux d’une société humaine ; développement qui se conjugue avec la liberté d’aller et de venir du citoyen, la protection et la jouissance paisible de ses biens ou du fruit de son labeur.
Force est de constater, que nulle part dans le monde, il n’y a de sécurité garantie à 100 %. Cependant, sans un minimum de sécurité construit avec des ressources humaines et une logistique appropriée, les libertés publiques et, partant le développement harmonieux d’une société humaine s’en trouvent gravement compromis.
C’est pourquoi, je ne peux que me réjouir de cette importante contribution que mon collègue et ami le Ministre Claude Guéant vient offrir, au nom de son pays, à notre Police Nationale ; don constitué d’un ensemble de matériel roulant pour accroître sa mobilité, et donc, son efficacité. Contribution totalement en phase avec les impératifs de consolidation de la paix sociale, du succès du processus de réconciliation nationale, cher à la République Son Excellence Monsieur Alassane Ouattara.
Monsieur le Ministre,
Mesdames et Messieurs,
Cette cérémonie m’offre, une autre occasion d’en appeler, de façon pressante, à une union sacrée de tous les Ivoiriens et de toutes les Ivoiriennes autour de la lutte contre l’insécurité : combat qui ne peut être gagné que par leur forte implication et leur collaboration avec les Forces de Police.
En ce qui nous concerne, heureux bénéficiaires de ce don, je voudrais, en notre nom à tous, dire à notre illustre hôte, notre profonde gratitude et saluer l’engagement sans réserve de son pays, la France, à nous accompagner dans le processus de retour à la normalité républicaine.
C’est sur ce sentiment de grande reconnaissance que je voudrais clore mon propos tout en renouvelant le salut du peuple ivoirien à la fraternité ivoiro-française.
Je vous remercie.
Hamed Bakayoko
Je voudrais, dès l’entame de mon propos, vous remercier pour votre présence dans notre pays, accompagné d’une si importante délégation, mais également, pour cette marque de sollicitude dont vous êtes porteur et qui traduit la volonté du Gouvernement français de nous appuyer sur le chemin de la reconstruction de notre pays.
Les rencontres que nous avons eues dans votre pays nous ont permis, et je le crois, d’entrevoir de bonnes perspectives de coopération entre nos deux départements ministériels.
Je voudrais, non seulement m’en féliciter, mais, aussi me réjouir de ce que vous ayez si rapidement accepté mon invitation malgré votre agenda que je sais très chargé.
Monsieur le Ministre,
Au sortir de la crise postélectorale, la Côte d’Ivoire s’est retrouvée avec un système de sécurité totalement affaissé, laissant les populations dans le doute et la peur.
La mobilisation des énergies pour le relèvement et la remontée en puissance de l’opérationnalité de nos forces de police a été l’une des priorités du Président de la République accompagné, en cela, par les forces Onusiennes et françaises dont je voudrais saluer le grand appui à nos côtés.
Le peuple français et son Gouvernement vont encore marquer de façon concrète, par ce concours que nous allons réceptionner tout à l’heure, la solidité du lien de coopération qui unit la France et la Côte d’Ivoire et dont la qualité et la profondeur en ont fait un modèle réussi.
Mesdames et Messieurs,
La cérémonie de ce jour, qui s’inscrit dans le cadre de la lutte contre l’insécurité, est une bonne occasion d’affirmer notre détermination à persévérer dans la voie qui nous conduit à minimiser les effets du banditisme dans notre société.
Elle traduit également, est-il encore besoin de le relever, la volonté et l’engagement de l’Etat à améliorer les conditions de vie et de travail de ses agents en général et de ceux de la sécurité en particulier.
En effet, l’on ne dira jamais assez que la sécurité demeure la pierre angulaire de tout développement harmonieux d’une société humaine ; développement qui se conjugue avec la liberté d’aller et de venir du citoyen, la protection et la jouissance paisible de ses biens ou du fruit de son labeur.
Force est de constater, que nulle part dans le monde, il n’y a de sécurité garantie à 100 %. Cependant, sans un minimum de sécurité construit avec des ressources humaines et une logistique appropriée, les libertés publiques et, partant le développement harmonieux d’une société humaine s’en trouvent gravement compromis.
C’est pourquoi, je ne peux que me réjouir de cette importante contribution que mon collègue et ami le Ministre Claude Guéant vient offrir, au nom de son pays, à notre Police Nationale ; don constitué d’un ensemble de matériel roulant pour accroître sa mobilité, et donc, son efficacité. Contribution totalement en phase avec les impératifs de consolidation de la paix sociale, du succès du processus de réconciliation nationale, cher à la République Son Excellence Monsieur Alassane Ouattara.
Monsieur le Ministre,
Mesdames et Messieurs,
Cette cérémonie m’offre, une autre occasion d’en appeler, de façon pressante, à une union sacrée de tous les Ivoiriens et de toutes les Ivoiriennes autour de la lutte contre l’insécurité : combat qui ne peut être gagné que par leur forte implication et leur collaboration avec les Forces de Police.
En ce qui nous concerne, heureux bénéficiaires de ce don, je voudrais, en notre nom à tous, dire à notre illustre hôte, notre profonde gratitude et saluer l’engagement sans réserve de son pays, la France, à nous accompagner dans le processus de retour à la normalité républicaine.
C’est sur ce sentiment de grande reconnaissance que je voudrais clore mon propos tout en renouvelant le salut du peuple ivoirien à la fraternité ivoiro-française.
Je vous remercie.
Hamed Bakayoko
