Abidjan -La chambre d’accusation de la cour d’appel d’Abidjan va examiner, mercredi, les demandes de mise en liberté provisoire des personnes inculpées dans le cadre de la crise postélectorale, indique un communiqué de presse du parquet général près la cour d’appel.
Le procureur de la République, dans le cadre des enquêtes ouvertes à la suite de la crise postélectorale, a inculpé plusieurs personnes proches de l’ancien président, Laurent Gbagbo, pour des faits relevant des crimes de sang, des infractions économiques et des atteintes à la sureté de l’Etat, rappelle-t-on.
Au cours de son audience ordinaire de mercredi, la juridiction compétente va apprécier l’opportunité de libérer ces personnes, en vue d’une décrispation de l’environnement sociopolitique marqué par la participation ou non du Front populaire ivoirien (FPI, opposition) aux élections législatives du 11 décembre prochain.
En effet, le parti de Laurent Gbagbo attend, aux dires de certains de ses cadres, la libération des cadres détenus depuis la fin de la crise postélectorale et le dégel des avoirs de certaines personnalités, particulièrement celles qui veulent se faire élire député, pour participer effectivement au scrutin prévu pour le 11 décembre prochain.
Vendredi, délai de rigueur pour le dépôt des dossiers de candidature à la Commission électorale indépendante (CEI), quatre formations membres du CNRD ont déposé une vingtaine de dossiers de candidatures, a-t-on noté.
Le procureur de la République, dans le cadre des enquêtes ouvertes à la suite de la crise postélectorale, a inculpé plusieurs personnes proches de l’ancien président, Laurent Gbagbo, pour des faits relevant des crimes de sang, des infractions économiques et des atteintes à la sureté de l’Etat, rappelle-t-on.
Au cours de son audience ordinaire de mercredi, la juridiction compétente va apprécier l’opportunité de libérer ces personnes, en vue d’une décrispation de l’environnement sociopolitique marqué par la participation ou non du Front populaire ivoirien (FPI, opposition) aux élections législatives du 11 décembre prochain.
En effet, le parti de Laurent Gbagbo attend, aux dires de certains de ses cadres, la libération des cadres détenus depuis la fin de la crise postélectorale et le dégel des avoirs de certaines personnalités, particulièrement celles qui veulent se faire élire député, pour participer effectivement au scrutin prévu pour le 11 décembre prochain.
Vendredi, délai de rigueur pour le dépôt des dossiers de candidature à la Commission électorale indépendante (CEI), quatre formations membres du CNRD ont déposé une vingtaine de dossiers de candidatures, a-t-on noté.