Le président du conseil d’administration de l’Institut national de la statistique (INS), Woéi Messé Alphonse, demande aux Ivoiriens de se référer aux données statistiques dans leur quotidien en vue de mieux apprécier les réalités nationales mais aussi pour les projets. Il a lancé l’appel, vendredi dernier, à l’auditorium de la Caistab, à Abidjan-Plateau, lors de la 21ème journée africaine de la Statistique. « Tenir les comptes pour améliorer la situation actuelle de l’Afrique et pour un avenir encore plus brillant » était le thème africain de la journée. Au plan local, « Comptabilité nationale : un outil d’aide à la gestion économique de l’Etat » a été retenu pour orienter les réflexions.
Woéi Messé Alphonse, représentant le ministre d’Etat, ministre du Plan et du Développement, a dit que le thème national a pour but de montrer l’importance de la comptabilité dans le développement d’un pays. Et que la statistique aussi joue un rôle important dans l’essor d’une nation. « En l’absence des comptes, on ne peut rien programmer pour le développement. C’est dans ce contexte qu’il faut mettre à la disposition de l’INS les informations pour permettre à l’Etat de trouver les solutions aux problèmes de développement », a-t-il exhorté.
Le DG de l’INS, Ibrahima Ba, a abondé dans le même sens. Il a dit qu’une loi est en élaboration depuis deux ans pour obliger les citoyens à donner les informations vraies à son institution durant la collecte des données.
Le problème des données et le contraste avec la réalité a été au centre des préoccupations de cette journées.
Gomon Edmond
Woéi Messé Alphonse, représentant le ministre d’Etat, ministre du Plan et du Développement, a dit que le thème national a pour but de montrer l’importance de la comptabilité dans le développement d’un pays. Et que la statistique aussi joue un rôle important dans l’essor d’une nation. « En l’absence des comptes, on ne peut rien programmer pour le développement. C’est dans ce contexte qu’il faut mettre à la disposition de l’INS les informations pour permettre à l’Etat de trouver les solutions aux problèmes de développement », a-t-il exhorté.
Le DG de l’INS, Ibrahima Ba, a abondé dans le même sens. Il a dit qu’une loi est en élaboration depuis deux ans pour obliger les citoyens à donner les informations vraies à son institution durant la collecte des données.
Le problème des données et le contraste avec la réalité a été au centre des préoccupations de cette journées.
Gomon Edmond