Le Premier ministre, Guillaume Soro, a réaffirmé, hier, la volonté du gouvernement de mettre les hommes qu’il faut là où il convient.
Il y aura de plus en plus d’appels à candidature pour les nominations à la tête des structures publiques. C’est le moyen qu’a trouvé le gouvernement, selon le Premier ministre Guillaume Soro, pour que ces institutions soient dirigées par ceux qu’il faut sans considération ethnique, religieuse… avec comme seul critère de choix, la compétence. Remettant, hier, les lettres de mission des premières structures (il a commencé le test par les organisations sous sa tutelle) dont les responsables ont été désignés par appel à candidature, il a réitéré ce vœu cher au président de la République, Alassane Ouattara, et auquel lui-même adhère totalement : « à tous les niveaux de la gestion publique, il conviendrait que tous, nous puissions faire nôtre la nécessité de valoriser et d’élever au rang de valeurs essentielles la compétence et le mérite ». « S’il est avéré que nombre d’Ivoiriens relèvent, chaque jour un peu plus, les défis pointus de la formation, combien plus, ne devrions-nous pas leur donner l’occasion de s’exprimer, au travers des compétitions saines, qui permettent aux meilleurs de s’imposer et de s’employer à tirer vers le haut les différents secteurs de notre société, de notre économie et de notre administration ? » aujoute-t-il. Pour Guillaume Soro, il faut, dans les nominations à la tête des structures étatiques, « mettre sur un pied d’égalité les Ivoiriens, où qu’ils se trouvent, sans tenir compte des appartenances politiques ou religieuses ou encore de passe-droits amicaux ou tribaux ». Il a rappelé que, conformément à la volonté du président Ouattara, il y aura d’autres appels à candidatures pour la direction des institutions étatiques. A l’en croire, Alassane Ouattara a demandé aux ministres de suivre l’exemple de la Primature en ce qui concerne les structures sous leurs tutelles. Il s’agit, a argumenté l’intervenant, de « nous laisser tous guider par l’idée, que notre pays doit être dirigé autrement ». A l’en croire, ceci est « un impératif de gestion performante, corollaire de la bonne gouvernance qui doit constituer le socle de nos actions. Et, il le sera davantage, au fur et à mesure que nous mettrons en œuvre les différents pans du programme gouvernemental ». Guillaume Soro s’est félicité du succès de cette initiative consistant à nommer des responsables de structures étatiques par appel à candidatures. A Essis Esmel Emmanuel, directeur général du Centre de promotion des investissements en Côte d’Ivoire (Cepici), Soro Nongolougo (le Premier ministre a précisé qu’ils ne sont pas de la même famille), directeur général de la Société nationale de développement informatique (Sndi) et Gbéi Fonh Edouard, secrétaire général du Comité national de télédétection et d’information géographique (Cntig), le Premier ministre a demandé de confirmer les arguments de leurs curriculum vitae respectifs. Qui, du reste, justifie le satisfecit de Guillaume Soro devant le travail du cabinet international Deloitte.
Bamba K. Inza
Il y aura de plus en plus d’appels à candidature pour les nominations à la tête des structures publiques. C’est le moyen qu’a trouvé le gouvernement, selon le Premier ministre Guillaume Soro, pour que ces institutions soient dirigées par ceux qu’il faut sans considération ethnique, religieuse… avec comme seul critère de choix, la compétence. Remettant, hier, les lettres de mission des premières structures (il a commencé le test par les organisations sous sa tutelle) dont les responsables ont été désignés par appel à candidature, il a réitéré ce vœu cher au président de la République, Alassane Ouattara, et auquel lui-même adhère totalement : « à tous les niveaux de la gestion publique, il conviendrait que tous, nous puissions faire nôtre la nécessité de valoriser et d’élever au rang de valeurs essentielles la compétence et le mérite ». « S’il est avéré que nombre d’Ivoiriens relèvent, chaque jour un peu plus, les défis pointus de la formation, combien plus, ne devrions-nous pas leur donner l’occasion de s’exprimer, au travers des compétitions saines, qui permettent aux meilleurs de s’imposer et de s’employer à tirer vers le haut les différents secteurs de notre société, de notre économie et de notre administration ? » aujoute-t-il. Pour Guillaume Soro, il faut, dans les nominations à la tête des structures étatiques, « mettre sur un pied d’égalité les Ivoiriens, où qu’ils se trouvent, sans tenir compte des appartenances politiques ou religieuses ou encore de passe-droits amicaux ou tribaux ». Il a rappelé que, conformément à la volonté du président Ouattara, il y aura d’autres appels à candidatures pour la direction des institutions étatiques. A l’en croire, Alassane Ouattara a demandé aux ministres de suivre l’exemple de la Primature en ce qui concerne les structures sous leurs tutelles. Il s’agit, a argumenté l’intervenant, de « nous laisser tous guider par l’idée, que notre pays doit être dirigé autrement ». A l’en croire, ceci est « un impératif de gestion performante, corollaire de la bonne gouvernance qui doit constituer le socle de nos actions. Et, il le sera davantage, au fur et à mesure que nous mettrons en œuvre les différents pans du programme gouvernemental ». Guillaume Soro s’est félicité du succès de cette initiative consistant à nommer des responsables de structures étatiques par appel à candidatures. A Essis Esmel Emmanuel, directeur général du Centre de promotion des investissements en Côte d’Ivoire (Cepici), Soro Nongolougo (le Premier ministre a précisé qu’ils ne sont pas de la même famille), directeur général de la Société nationale de développement informatique (Sndi) et Gbéi Fonh Edouard, secrétaire général du Comité national de télédétection et d’information géographique (Cntig), le Premier ministre a demandé de confirmer les arguments de leurs curriculum vitae respectifs. Qui, du reste, justifie le satisfecit de Guillaume Soro devant le travail du cabinet international Deloitte.
Bamba K. Inza
