Kata Kéké de nouveau libre ! Le député et cadre du Front populaire ivoirien était détenu à la Police criminelle (ex-police judiciaire), depuis que des éléments de la Direction de la surveillance du territoire (Dst) sont allés le chercher à son domicile le mercredi 16 novembre 2011, dans la soirée. Hier, en fin de matinée, il lui a été signifié par la Police qu`il était libre. En fait de liberté, Kata Kéké, précédemment, ministre de la Recherche scientifique dans le gouvernement Aké N`gbo, recouvre la liberté provisoire qui lui avait échappé la soirée du 16 novembre. Initialement, l`élu était en détention à Boundiali, dans le Nord du pays, avec une vingtaine de personnalités proches de Laurent Gbagbo. Sa requête de mise en liberté provisoire avait été reçue favorablement par la chambre d`accusation de la Cour d`appel, le mercredi 9 novembre. Des propos qu`il a tenus à sa sortie de prison lui auraient valu son arrestation. On a évoqué une « atteinte à l`autorité de la justice ».
Joint au téléphone, hier soir, Augustin Guéhoun, membre de la direction du Front populaire ivoirien, s`est réjoui que « le camarade Kata Kéké respire de nouveau l`air frais de la liberté ». « Nous nous en réjouissons. Nous souhaitons que cela s`arrête. On lui reprocherait des propos qu`il a tenus lorsque nous les avons reçus à leur sortie de prison. Mais, c`est une pure tradition que de recevoir des proches qui reviennent de si loin et c`est tout à fait normal qu`ils puissent partager leurs sentiments », a expliqué Augustin Guéhoun, secrétaire national à la communication et au marketing politique. Kata Kéké était, hier, un homme heureux de retrouver les siens.
Kisselminan COULIBALY
Joint au téléphone, hier soir, Augustin Guéhoun, membre de la direction du Front populaire ivoirien, s`est réjoui que « le camarade Kata Kéké respire de nouveau l`air frais de la liberté ». « Nous nous en réjouissons. Nous souhaitons que cela s`arrête. On lui reprocherait des propos qu`il a tenus lorsque nous les avons reçus à leur sortie de prison. Mais, c`est une pure tradition que de recevoir des proches qui reviennent de si loin et c`est tout à fait normal qu`ils puissent partager leurs sentiments », a expliqué Augustin Guéhoun, secrétaire national à la communication et au marketing politique. Kata Kéké était, hier, un homme heureux de retrouver les siens.
Kisselminan COULIBALY