Il n'est pas de vent favorable pour celui qui ne sait pas où il va. Cette citation du philosophe romain Sénèque, cadre bien avec la volonté de la Cgeci (Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire) de guider la Côte d’Ivoire pendant 30 ans et d’en faire un pays développé. L’atelier qui vient de s’achever à Yamoussoukro, a jeté les bases d’une Côte d’Ivoire qui sait où elle va et qui sait ce qu’elle veut pour atteindre ses objectifs.
Autour des commissions, Agriculture, Mines et Energie, Services et Questions transversales, les experts ont confectionné un document à valeur de loi-programme. Les recommandations qui y sont contenues s’intègrent au plan du développement stratégique national et permettra à la Côte d’Ivoire, à l’horizon 2040, de jouir de la paix, de la prospérité, du bonheur partagé et du bien-être. « Nous avons traversé beaucoup d’épreuves mais nous avons atteint nos objectifs avec l’adoption de ce document.
Cependant nous devons travailler de manière continue. Nous venons de démontrer que nous pouvons construire ensemble notre pays et nous projeter dans son futur », a indiqué Diagou. Selon lui, la Côte d’Ivoire de 2040 est en marche et c’est bien la première fois au monde qu’un secteur privé mène une étude prospective sur le développement de son pays. « L’heure est à l’action. Nous allons transformer ces solutions en réalités palpables, transmettrons à un haut niveau ce document. Nous ferons tout pour que nos gouvernants se l’approprient car il peut être une loi-programme.
D’ailleurs le président Ouattara qui attend impatiemment ces conclusions souhaite une remise officielle de ces recommandations. Il a dit les attendre avec beaucoup d’intérêt », a révélé le président de la Cgeci. Pour lui, c’est l’expression d’une volonté politique forte et les Ivoiriens ont entre leurs mains les clés de leur futur. Diagou a invité chaque ivoirien à être porteur de ce rêve car ce document doit servir de plan d’action concret.
A l’en croire, ‘‘ l’histoire nous interpelle, le présent nous observe et le futur nous jugera’’. Pour lui, cette vision du secteur privé doit être enrichie par le Gouvernement et l’adhésion de la population. Une équipe de projet suivra ces conclusions. « Notre objectif est que le Chef de l’Etat s’approprie le projet avant le gouvernement. Nous indiquons le chemin à suivre et voulons avoir une bonne visibilité », a souligné Diagou.
Ajoutant que les bailleurs de fonds attendent aussi depuis longtemps ces recommandations. A propos de l’Ecole, il a expliqué qu’il faille une reforme pour repenser l’université. N’Goh Bakayoko, Directeur de cabinet adjoint du ministre de l’Industrie, a insisté sur la responsabilité commune et la vision commune à travers une approche participative qui doit permettre de relever le défi du meilleur.
Jean Eric ADINGRA
Autour des commissions, Agriculture, Mines et Energie, Services et Questions transversales, les experts ont confectionné un document à valeur de loi-programme. Les recommandations qui y sont contenues s’intègrent au plan du développement stratégique national et permettra à la Côte d’Ivoire, à l’horizon 2040, de jouir de la paix, de la prospérité, du bonheur partagé et du bien-être. « Nous avons traversé beaucoup d’épreuves mais nous avons atteint nos objectifs avec l’adoption de ce document.
Cependant nous devons travailler de manière continue. Nous venons de démontrer que nous pouvons construire ensemble notre pays et nous projeter dans son futur », a indiqué Diagou. Selon lui, la Côte d’Ivoire de 2040 est en marche et c’est bien la première fois au monde qu’un secteur privé mène une étude prospective sur le développement de son pays. « L’heure est à l’action. Nous allons transformer ces solutions en réalités palpables, transmettrons à un haut niveau ce document. Nous ferons tout pour que nos gouvernants se l’approprient car il peut être une loi-programme.
D’ailleurs le président Ouattara qui attend impatiemment ces conclusions souhaite une remise officielle de ces recommandations. Il a dit les attendre avec beaucoup d’intérêt », a révélé le président de la Cgeci. Pour lui, c’est l’expression d’une volonté politique forte et les Ivoiriens ont entre leurs mains les clés de leur futur. Diagou a invité chaque ivoirien à être porteur de ce rêve car ce document doit servir de plan d’action concret.
A l’en croire, ‘‘ l’histoire nous interpelle, le présent nous observe et le futur nous jugera’’. Pour lui, cette vision du secteur privé doit être enrichie par le Gouvernement et l’adhésion de la population. Une équipe de projet suivra ces conclusions. « Notre objectif est que le Chef de l’Etat s’approprie le projet avant le gouvernement. Nous indiquons le chemin à suivre et voulons avoir une bonne visibilité », a souligné Diagou.
Ajoutant que les bailleurs de fonds attendent aussi depuis longtemps ces recommandations. A propos de l’Ecole, il a expliqué qu’il faille une reforme pour repenser l’université. N’Goh Bakayoko, Directeur de cabinet adjoint du ministre de l’Industrie, a insisté sur la responsabilité commune et la vision commune à travers une approche participative qui doit permettre de relever le défi du meilleur.
Jean Eric ADINGRA