On n’est jamais mieux célébré que par les siens. Après les populations de Karakoro, le président l’Alliance pour le Changement a été honoré par les ressortissants de Komboro à Abidjan. Alphonse Soro qui est dans la course pour l’unique poste de député dans la circonscription de Karakoro-Komboro a été accueilli par des chants et des ovations nourries par ses frères et sœurs de Komboro qui ont effectué nombreux le déplacement à la salle de mariage de la mairie d’Abobo.
Candidat du RDR dans sous-préfecture de Karakoro-Komboro, dans le département de Korhogo, il estime qu’avec la somme d’expérience qu’il a pu acquérir ces dernières années auprès du Premier ministre Guillaume dont il est l’un des conseillers, il peut apporter beaucoup à Karakoro et Komboro. Le président de l’APC a profité de ces retrouvailles pour rebondir sur l’actualité ivoirienne. Il a tenu, après ce qui s’est passé à Port-Bouët et à Bonoua, à rappeler au FPI et surtout à la JFPI qu’ils n’ont pas le monopole de la violence. Pour lui, avec les tueries et massacres que le FPI a planifiés au cours de la crise postélectorale, il devrait faire le profil bas.
Ce qui n’est pas le cas. Il a même rappelé que le mois dernier, lui et son équipe sont allés voir le président par intérim, Koua Justin et son bureau, pour tenter de les amener à avoir un discours apaisant et conciliateur. Apparemment, selon lui, les conseils avisés qui ont été apportés à la jeunesse du FPI sont tombés dans des oreilles de sourds. «Dites à la JFPI, je vais aux élections législatives.
Quand je reviendrai, je vais m’occuper d’eux», a-t-il averti. Le président de l’APC s’est offusqué des propos tenus récemment par le président par intérim de la JFPI et le secrétaire général du FPI. Pour lui, de tels propos ne sont que de la pure provocation. Agir ainsi, pour lui, c’est insulter tous ceux qui ont été assassinés et dont on n’a pas encore retrouvé les corps. Pour ces simples raisons, le président Alphonse Soro a promis s’occuper de la JFPI lorsqu’il finira avec les élections législatives dans sa localité.
Jean-Claude Coulibaly
Candidat du RDR dans sous-préfecture de Karakoro-Komboro, dans le département de Korhogo, il estime qu’avec la somme d’expérience qu’il a pu acquérir ces dernières années auprès du Premier ministre Guillaume dont il est l’un des conseillers, il peut apporter beaucoup à Karakoro et Komboro. Le président de l’APC a profité de ces retrouvailles pour rebondir sur l’actualité ivoirienne. Il a tenu, après ce qui s’est passé à Port-Bouët et à Bonoua, à rappeler au FPI et surtout à la JFPI qu’ils n’ont pas le monopole de la violence. Pour lui, avec les tueries et massacres que le FPI a planifiés au cours de la crise postélectorale, il devrait faire le profil bas.
Ce qui n’est pas le cas. Il a même rappelé que le mois dernier, lui et son équipe sont allés voir le président par intérim, Koua Justin et son bureau, pour tenter de les amener à avoir un discours apaisant et conciliateur. Apparemment, selon lui, les conseils avisés qui ont été apportés à la jeunesse du FPI sont tombés dans des oreilles de sourds. «Dites à la JFPI, je vais aux élections législatives.
Quand je reviendrai, je vais m’occuper d’eux», a-t-il averti. Le président de l’APC s’est offusqué des propos tenus récemment par le président par intérim de la JFPI et le secrétaire général du FPI. Pour lui, de tels propos ne sont que de la pure provocation. Agir ainsi, pour lui, c’est insulter tous ceux qui ont été assassinés et dont on n’a pas encore retrouvé les corps. Pour ces simples raisons, le président Alphonse Soro a promis s’occuper de la JFPI lorsqu’il finira avec les élections législatives dans sa localité.
Jean-Claude Coulibaly
