La CPC (Coalition pour le Changement) a animé un point de presse, le 23 novembre 2012, pour donner sa position sur le plaidoyer de Mian Augustin, secrétaire général de la FESCI pour la réouverture des universités.
Pour la CPC, la décision de réouverture des universités de Cocody et d’Abobo-Adjamé en septembre 2012, vient à propos. Dans la mesure où, elle «permettra de régler définitivement les problèmes de l’université de Côte d’Ivoire». «Si certaines de ces réactions peuvent apparaître légitimes, notamment le sort des nouveaux bacheliers, celles de la FESCI (Fédération estudiantine de Côte d’Ivoire) et de Mian Augustin, nous apparaissent comme une mauvaise foi intolérable et comme des manœuvres politiques», a laissé entendre Constant Koffi, président par intérim de la CPC. Considérant cette sortie du leader de la FESCI de trop, la CPC a décidé de «porter une nouvelle fois plainte (mercredi 23 novembre 2011) auprès du procureur du tribunal de première instance d’Abidjan pour tortures, viols et assassinats». Selon le successeur de Touré Mamadou à la tête de cette coalition, la FESCI n’est pas exempte de reproches dans la situation de déliquescence du système universitaire. «La FESCI a transformé les cités U en un lieu de prostitution, de vente de drogue. Les maquis et commerces ont été installés partout là où les étudiants devraient étudier. KB, manitou de la FESCI avait des boîtes de nuit et maquis partout. A la faveur de la crise postélectorale, des mercenaires et miliciens ont été logés par la FESCI et l’ancien régime au détriment des étudiants», a-t-il indiqué. C’est la raison pour laquelle, avance-t-il, exiger l’ouverture de l’université dans les plus brefs délais sans tenir compte de son niveau de destruction et du temps nécessaire pour la remettre en état, apparaît comme une énième tentative de déstabilisation du régime. Constant Koffi a révélé que «Mian Augustin n’a plus sa place à l’université», puisqu’inscrit dans le temple du savoir depuis 1995 et se disant «étudiant en maîtrise là où certains de ses promotionnaires sont enseignants dans ladite université».
K.H
Pour la CPC, la décision de réouverture des universités de Cocody et d’Abobo-Adjamé en septembre 2012, vient à propos. Dans la mesure où, elle «permettra de régler définitivement les problèmes de l’université de Côte d’Ivoire». «Si certaines de ces réactions peuvent apparaître légitimes, notamment le sort des nouveaux bacheliers, celles de la FESCI (Fédération estudiantine de Côte d’Ivoire) et de Mian Augustin, nous apparaissent comme une mauvaise foi intolérable et comme des manœuvres politiques», a laissé entendre Constant Koffi, président par intérim de la CPC. Considérant cette sortie du leader de la FESCI de trop, la CPC a décidé de «porter une nouvelle fois plainte (mercredi 23 novembre 2011) auprès du procureur du tribunal de première instance d’Abidjan pour tortures, viols et assassinats». Selon le successeur de Touré Mamadou à la tête de cette coalition, la FESCI n’est pas exempte de reproches dans la situation de déliquescence du système universitaire. «La FESCI a transformé les cités U en un lieu de prostitution, de vente de drogue. Les maquis et commerces ont été installés partout là où les étudiants devraient étudier. KB, manitou de la FESCI avait des boîtes de nuit et maquis partout. A la faveur de la crise postélectorale, des mercenaires et miliciens ont été logés par la FESCI et l’ancien régime au détriment des étudiants», a-t-il indiqué. C’est la raison pour laquelle, avance-t-il, exiger l’ouverture de l’université dans les plus brefs délais sans tenir compte de son niveau de destruction et du temps nécessaire pour la remettre en état, apparaît comme une énième tentative de déstabilisation du régime. Constant Koffi a révélé que «Mian Augustin n’a plus sa place à l’université», puisqu’inscrit dans le temple du savoir depuis 1995 et se disant «étudiant en maîtrise là où certains de ses promotionnaires sont enseignants dans ladite université».
K.H