En venant à Bruxelles, le président de la République avait pour objectif de remettre à flot la coopération entre la Côte d’Ivoire et l’un de ses partenaires économique les plus essentiel, l’Union eruropéenne, parler business et diplomatie. N’empêche, les questions qui nourrissent la polémique et qui attisent les tensions politiques comme celle du transfert à la Cour pénale internationale de l’ancien chef de l’Etat, Laurent Gbagbo n’ont pas manqué d’être évoquées, hier, par un journaliste désireux de savoir la date du transfert de Gbagbo à la Cpi. A ce propos, voici la réaction du président de la République : «Cette date ne dépend pas de nous, la question est entre les mains des juges de la Cour pénale internationale et nous pensons qu’une justice équitable sera rendue».
A.S.C.
Envoyé spécial à Bruxelles
A.S.C.
Envoyé spécial à Bruxelles