LA HAYE,L`avion transportant l`ancien président ivoirien Laurent Gbagbo, qui fait l`objet d`un mandat d`arrêt de la Cour pénale internationale (CPI), a atterri dans la nuit de mardi à mercredi à l`aéroport de Rotterdam (ouest des Pays-Bas) en provenance de la Côte d`Ivoire, a annoncé l`agence de presse néerlandaise ANP.
L`appareil, affrété par les autorités ivoiriennes, est arrivé à Rotterdam peu avant 04H00 (03H00 GMT), a précisé ANP. M. Gbagbo devait être ensuite conduit au centre de détention de la CPI à La Haye, à une vingtaine de kilomètres.
L`ex-président ivoirien, âgé de 66 ans, avait quitté mardi soir la Côte d`Ivoire à bord d`un avion affrété par les autorités ivoiriennes à destination de Rotterdam.
Détenu depuis avril dans une résidence à Korhogo (nord de la Côte d`Ivoire), M. Gbagbo s`était vu notifier mardi un mandat d`arrêt de la CPI, délivré sous scellés par les juges de La Haye, près de huit mois après avoir plongé le pays dans une crise meurtrière.
L`annonce de son départ avait été faite mardi après-midi par l`un de ses avocats en Côte d`Ivoire. La CPI s`était de son côté refusée à tout commentaire.
Parallèlement à la justice ivoirienne, la Cour pénale internationale mène depuis octobre sa propre enquête sur des crimes contre l`humanité et crimes de guerre commis pendant la crise post-électorale de décembre 2010-avril 2011, dont sont accusés le camp Gbagbo et celui du nouveau président Alassane Ouattara.
L`appareil, affrété par les autorités ivoiriennes, est arrivé à Rotterdam peu avant 04H00 (03H00 GMT), a précisé ANP. M. Gbagbo devait être ensuite conduit au centre de détention de la CPI à La Haye, à une vingtaine de kilomètres.
L`ex-président ivoirien, âgé de 66 ans, avait quitté mardi soir la Côte d`Ivoire à bord d`un avion affrété par les autorités ivoiriennes à destination de Rotterdam.
Détenu depuis avril dans une résidence à Korhogo (nord de la Côte d`Ivoire), M. Gbagbo s`était vu notifier mardi un mandat d`arrêt de la CPI, délivré sous scellés par les juges de La Haye, près de huit mois après avoir plongé le pays dans une crise meurtrière.
L`annonce de son départ avait été faite mardi après-midi par l`un de ses avocats en Côte d`Ivoire. La CPI s`était de son côté refusée à tout commentaire.
Parallèlement à la justice ivoirienne, la Cour pénale internationale mène depuis octobre sa propre enquête sur des crimes contre l`humanité et crimes de guerre commis pendant la crise post-électorale de décembre 2010-avril 2011, dont sont accusés le camp Gbagbo et celui du nouveau président Alassane Ouattara.