Bruxelles - La chef de la diplomatie de l`UE, Catherine Ashton s`est félicitée jeudi du transfèrement de l`ancien président ivoirien Laurent Gbagbo à la Cour pénale internationale (CPI) de La Haye en soulignant que ceux qui violent les droits de l`Homme devaient être poursuivis quel que soit leur rang.
"L`UE réaffirme son soutien à la Cour pénale internationale dans sa luttecontre l`impunité et pour la promotion d`un ordre fondé sur le droit international. L`UE estime que les violations des droits de l`Homme doivent être poursuivis quels qu`en soient les responsables ou leur camp", a dit Mme Ashton dans un communiqué.
"Une justice équitable est essentielle pour la consolidation de la paix en Côte d`Ivoire", a-t-elle ajouté.
La responsable de l`Union européenne pour les Affaires étrangères a assuré que l`UE continuerait de soutenir la Côte d`Ivoire dans ses efforts pour "parvenir à la stabilité, la réconciliation et la justice".
M. Gbagbo est accusé de crimes contre l`humanité commis dans son pays lors des violences post-électorales de 2010-2011, à savoir meurtres, viols, actes inhumains et persécutions commis entre le 16 décembre 2010 et le 12 avril, après le second tour de la présidentielle du 28 novembre 2010.
Son refus de reconnaître la victoire d`Alassane Ouattara avait provoqué des violences ayant fait quelque 3.000 morts.
"L`UE réaffirme son soutien à la Cour pénale internationale dans sa luttecontre l`impunité et pour la promotion d`un ordre fondé sur le droit international. L`UE estime que les violations des droits de l`Homme doivent être poursuivis quels qu`en soient les responsables ou leur camp", a dit Mme Ashton dans un communiqué.
"Une justice équitable est essentielle pour la consolidation de la paix en Côte d`Ivoire", a-t-elle ajouté.
La responsable de l`Union européenne pour les Affaires étrangères a assuré que l`UE continuerait de soutenir la Côte d`Ivoire dans ses efforts pour "parvenir à la stabilité, la réconciliation et la justice".
M. Gbagbo est accusé de crimes contre l`humanité commis dans son pays lors des violences post-électorales de 2010-2011, à savoir meurtres, viols, actes inhumains et persécutions commis entre le 16 décembre 2010 et le 12 avril, après le second tour de la présidentielle du 28 novembre 2010.
Son refus de reconnaître la victoire d`Alassane Ouattara avait provoqué des violences ayant fait quelque 3.000 morts.