Guiglo - Le chef milicien pro-Gbagbo, Mao Glophéhi, a été mis aux arrêts, lundi, à Guiglo (ouest, Moyen-Cavally) par les Forces républicaines de Côte d’Ivoire, alors qu’il s’était rendu dans la localité en vue de faire campagne pour l’un des candidats aux élections législatives.
M. Glophéhi a été arrêté aux environs de 10 heures 25 par des éléments des FRCI, alors qu’il circulait à bord d’un véhicule de type 4X4 dans les rues de la capitale du Moyen-Cavally, en compagnie de membres de l’équipe de campagne de son candidat.
Dès les premières heures de la journée de ce lundi, une information relative à la présence de Mao Glophéhi dans la ville de Guiglo, depuis dimanche, circulait dans les quartiers de la localité.
Selon une source proche du concerné, l’ex-chef des groupes armées pro-Gbagbo FLGO, LIMA et AP-Wê, qui a regagné la Côte d’Ivoire, la semaine dernière, avec un groupe de réfugiés ivoiriens du Ghana, seraient venu à Guiglo pour "contribuer à préparer les esprits à un une élection apaisée, et surtout rassurer les plus sceptiques quant au retour de la paix dans le pays".
Les populations, informées, se sont rendues massivement au camp militaire de la ville, où il a été conduit après son arrestation, constater les faits.
(aip)
M. Glophéhi a été arrêté aux environs de 10 heures 25 par des éléments des FRCI, alors qu’il circulait à bord d’un véhicule de type 4X4 dans les rues de la capitale du Moyen-Cavally, en compagnie de membres de l’équipe de campagne de son candidat.
Dès les premières heures de la journée de ce lundi, une information relative à la présence de Mao Glophéhi dans la ville de Guiglo, depuis dimanche, circulait dans les quartiers de la localité.
Selon une source proche du concerné, l’ex-chef des groupes armées pro-Gbagbo FLGO, LIMA et AP-Wê, qui a regagné la Côte d’Ivoire, la semaine dernière, avec un groupe de réfugiés ivoiriens du Ghana, seraient venu à Guiglo pour "contribuer à préparer les esprits à un une élection apaisée, et surtout rassurer les plus sceptiques quant au retour de la paix dans le pays".
Les populations, informées, se sont rendues massivement au camp militaire de la ville, où il a été conduit après son arrestation, constater les faits.
(aip)