La Banque mondiale, le Fmi, l’Union européenne et autres partenaires au développement sont bien présents en Côte d’Ivoire. Manque à l’appel la Bad (Banque africaine de développement). Partie de la Côte d’Ivoire à la faveur de la crise militaro-politique, précisément depuis septembre 2003, la Bad a posé ses valises à Tunis (Tunisie). Sous l’ancien régime, les tractations n’ont pas fait fléchir l’institution qui avait toujours argué un problème d’insécurité. Cela, malgré encore l’appel de l’ancien Chef d’Etat. « Toute la Côte d’Ivoire demande solennellement à la Bad de revenir à la maison », dixit Laurent Gbagbo, les 27 et 28 mai 2010, lors des assemblées annuelles de la Bad tenues Côte d’Ivoire.
Aujourd’hui, même pas une année à la tête de ce pays que les nouvelles s’annoncent bonnes pour le retour de l’institution en Côte d’Ivoire. Le dimanche dernier, un accord de siège a été signé entre la Bad, représentée par Donald Kaberuka, président dudit Groupe et Daniel Kablan Duncan, ministre ivoirien des Affaires étrangères, au Palais présidentiel. Sous le regard du président Alassane Ouattara. La Côte d’Ivoire a donc donné toutes les assurances à l’institution dont le retour est imminent. Le Chef de l’Etat qui connaît l’utilité d’un tel organisme, ne pouvait pas, en tant que homme des finances, accepté cette absence de la Bad. Car cette banque qui est une assurance pour les investisseurs, peut amener d’autres organismes et partenaires à venir en Côte d’Ivoire. Cela offrira des opportunités d’emploi à la jeunesse. Sans oublier la dynamique économique que pourrait impulser les agents de la Bad, une fois en Côte d’Ivoire. Alors se dégagera une image positive du pays.
JEA.
Aujourd’hui, même pas une année à la tête de ce pays que les nouvelles s’annoncent bonnes pour le retour de l’institution en Côte d’Ivoire. Le dimanche dernier, un accord de siège a été signé entre la Bad, représentée par Donald Kaberuka, président dudit Groupe et Daniel Kablan Duncan, ministre ivoirien des Affaires étrangères, au Palais présidentiel. Sous le regard du président Alassane Ouattara. La Côte d’Ivoire a donc donné toutes les assurances à l’institution dont le retour est imminent. Le Chef de l’Etat qui connaît l’utilité d’un tel organisme, ne pouvait pas, en tant que homme des finances, accepté cette absence de la Bad. Car cette banque qui est une assurance pour les investisseurs, peut amener d’autres organismes et partenaires à venir en Côte d’Ivoire. Cela offrira des opportunités d’emploi à la jeunesse. Sans oublier la dynamique économique que pourrait impulser les agents de la Bad, une fois en Côte d’Ivoire. Alors se dégagera une image positive du pays.
JEA.