Excellence, monsieur le président de la
République,
C’est l’âme en peine, mais très respectueusement, que je vous adresse ce cri de cœur d’un parent (et certainement de bien d’autres) révolté suite à une injustice flagrante dont ma fille et bien d’autres enfants de son école sont victimes. Par communiqué en date du 28 octobre 2011, monsieur le ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, porte à notre connaissance que l’Ecole de formation continue et de perfectionnement des cadres (EFCPC) est l’une des 6 écoles de l’Institut national polytechnique Houphouet-Boigny (INP-HB) dont la mission exclusive est la formation et le perfectionnement des cadres du public et du privé ; que les responsables de l’EFCPC mènent des activités de formation initiale à des fins privées sous le couvert et le label de l’INP-HB, en violation des dispositions de l’article 5 du décret n°96-676 du 4 septembre 1996,et qu’il est mis fin, à compter de la rentrée académique 2011-2012, à ces formations initiales privées illégales, dispensées au détriment de l’INP-HB de Yamoussoukro et de ses écoles. Excellence monsieur le président de la République, en cette période post-crise où « nous nous cherchons tous », je viens par la présente, en appeler à votre volonté de combattre l’injustice, car je suis convaincu que vous n’avez pas eu toutes les informations sur les mobiles et les conséquences de la fermeture des formations initiales dans les centres de l’EFCPC, fermeture qui met dans le désarroi de nombreux parents et leurs enfants (plus de 2000 étudiants tous les cycles confondus). Nos enfants n’y sont pour rien. Ils ne doivent donc pas être sanctionnés pour une faute qu’ils n’ont pas commise (…)
Coulibaly Ali Enseignant à la retraite à Bouaké, Parent d’élèves.
République,
C’est l’âme en peine, mais très respectueusement, que je vous adresse ce cri de cœur d’un parent (et certainement de bien d’autres) révolté suite à une injustice flagrante dont ma fille et bien d’autres enfants de son école sont victimes. Par communiqué en date du 28 octobre 2011, monsieur le ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, porte à notre connaissance que l’Ecole de formation continue et de perfectionnement des cadres (EFCPC) est l’une des 6 écoles de l’Institut national polytechnique Houphouet-Boigny (INP-HB) dont la mission exclusive est la formation et le perfectionnement des cadres du public et du privé ; que les responsables de l’EFCPC mènent des activités de formation initiale à des fins privées sous le couvert et le label de l’INP-HB, en violation des dispositions de l’article 5 du décret n°96-676 du 4 septembre 1996,et qu’il est mis fin, à compter de la rentrée académique 2011-2012, à ces formations initiales privées illégales, dispensées au détriment de l’INP-HB de Yamoussoukro et de ses écoles. Excellence monsieur le président de la République, en cette période post-crise où « nous nous cherchons tous », je viens par la présente, en appeler à votre volonté de combattre l’injustice, car je suis convaincu que vous n’avez pas eu toutes les informations sur les mobiles et les conséquences de la fermeture des formations initiales dans les centres de l’EFCPC, fermeture qui met dans le désarroi de nombreux parents et leurs enfants (plus de 2000 étudiants tous les cycles confondus). Nos enfants n’y sont pour rien. Ils ne doivent donc pas être sanctionnés pour une faute qu’ils n’ont pas commise (…)
Coulibaly Ali Enseignant à la retraite à Bouaké, Parent d’élèves.