Le ministre de l’Agriculture, Coulibaly Sangafowa a, le lundi 19 décembre 2011, présenté les grandes orientations stratégiques de la réforme du secteur de la filière café-cacao. Cette nouvelle réforme met en exergue les objectifs poursuivis par l’Etat de Côte d’Ivoire dans la mise en œuvre du document d’opérationnalité PVAM (Programme de vente anticipée à la moyenne). Selon Coulibaly Sangafowa, le 2 novembre 2011, le gouvernement a adopté des orientations stratégiques de la réforme de la filière café-cacao.
L’une de ces réformes concerne la stabilisation des prix au profit des producteurs. Toute chose qui permet de maîtriser les fluctuations des cours internationaux sur les prix de vente servis aux producteurs. «Le cœur de la présente réforme réside dans le système de mise à marché. Nous avons tenu à ce que sa mise en place obéisse aux règles rigoureuses d’analyses expertes dans un cadre participatif incluant tous les opérateurs de la filière concernée», a indiqué le ministre de l’Agriculture.
Ajoutant que la Côte d’Ivoire, premier producteur mondial de cacao, entend le demeurer et consolider à terme cette position en contrôlant au moins la moitié de la production mondiale. Raison pour laquelle, il paraît, selon lui, légitime d’optimiser les ventes internationales afin de reverser le maximum de prix de vente obtenu au créateur de cette richesse qu’est le producteur. Car dit-il : «Cela implique que notre présence sur le marché reflète notre poids réel dans la production mondiale de cacao, de sorte que, à défaut de faire le marché, nous n’ayons pas à le subir».
Armand K
L’une de ces réformes concerne la stabilisation des prix au profit des producteurs. Toute chose qui permet de maîtriser les fluctuations des cours internationaux sur les prix de vente servis aux producteurs. «Le cœur de la présente réforme réside dans le système de mise à marché. Nous avons tenu à ce que sa mise en place obéisse aux règles rigoureuses d’analyses expertes dans un cadre participatif incluant tous les opérateurs de la filière concernée», a indiqué le ministre de l’Agriculture.
Ajoutant que la Côte d’Ivoire, premier producteur mondial de cacao, entend le demeurer et consolider à terme cette position en contrôlant au moins la moitié de la production mondiale. Raison pour laquelle, il paraît, selon lui, légitime d’optimiser les ventes internationales afin de reverser le maximum de prix de vente obtenu au créateur de cette richesse qu’est le producteur. Car dit-il : «Cela implique que notre présence sur le marché reflète notre poids réel dans la production mondiale de cacao, de sorte que, à défaut de faire le marché, nous n’ayons pas à le subir».
Armand K