Le professeur Koffi Léandre Kouamé, fondateur du cadre d’analyse et de réflexion sur les questions de croissance et de développement de la Côte d’Ivoire, dénommé CIR (Carrefour ivoirien de réflexion), n’entend rien lâcher. Soucieux de l’avenir des fils et filles pour une Côte d’Ivoire moderne et prospère, il met en scène sa structure (CIR) qui regroupe des têtes pensantes. Dans le souci de répondre aux attentes nombreuses face au défi de la croissance et du développement, il a, lors de la séance du 6 octobre 2011, proposé et obtenu l’adhésion de nouveaux membres d’honneur dont les actions ont contribué à bâtir une Côte d’Ivoire moderne. A travers cette adhésion, le professeur Koffi Léandre Kouamé, entend susciter le débat. Avec lui, l’on a une idée du développement et de la croissance.
En effet, le développement, selon lui, (Ndlr : Le Repère - 30/10/2009) est un effort de transformation des structures physiques, mentales, économiques, politiques, institutionnelles, sociales et culturelles, et le changement des hommes pour tendre vers une situation meilleure. Par opposition, la croissance, selon lui, est une augmentation quantitative du volume de la production (par exemple, un tonnage de café et de cacao). En clair, le développement est essentiellement une révolution catégorielle. Les nouveaux membres ont donc du travail à faire. C’est-à-dire faire comprendre aux uns et aux autres, notamment la jeunesse, le sens du changement de mentalité pour s’adonner au travail bien fait. Cela implique aussi un effort du gouvernement.
HK
En effet, le développement, selon lui, (Ndlr : Le Repère - 30/10/2009) est un effort de transformation des structures physiques, mentales, économiques, politiques, institutionnelles, sociales et culturelles, et le changement des hommes pour tendre vers une situation meilleure. Par opposition, la croissance, selon lui, est une augmentation quantitative du volume de la production (par exemple, un tonnage de café et de cacao). En clair, le développement est essentiellement une révolution catégorielle. Les nouveaux membres ont donc du travail à faire. C’est-à-dire faire comprendre aux uns et aux autres, notamment la jeunesse, le sens du changement de mentalité pour s’adonner au travail bien fait. Cela implique aussi un effort du gouvernement.
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