Dans la perspective de l’amélioration du climat des affaires en Côte d’Ivoire, le CCESP (Comité de Concertation Etat / Secteur Privé) à travers son secrétariat technique, a organisé à l’hôtel Pullman-Plateau, une rencontre avec le Conseil d’orientation et de décision.
«Cette réunion s’inscrit dans le cadre de notre collaboration avec le secteur privé. Elle fait partie des rencontres au cours desquelles, nous passons en revue, les réelles préoccupations du secteur privé. Il était question pour nous de parler de deux sujets : le CFE (Centre de Facilité de Création du Secteur Privé) et le code des investissements. L’état des lieux, c’est qu’il faut apporter un changement dans notre environnement des affaires en Côte d’Ivoire. Nous avons trouvé la meilleure articulation, en collaboration avec le ministère d’Etat, ministère de la Justice ; le ministère de l’Industrie et le secteur privé ».
Ces propos sont du ministre de l’Industrie, Dosso Moussa. Qui a présidé cette réunion. Une position du ministre qui ne s’éloigne pas de celle du patronat. «On a surtout travaillé à regarder deux points clés qui sont la mise en place d’un centre de facilitation de la création des entreprises. Avec pour ambition d’aider à faciliter toutes les formalités administratives à la naissance d’une entreprise en 48h. Nous sommes aujourd’hui sur la phase de finalisation des travaux de mise en place pour lancer cet instrument. Le deuxième point, c’est l’avant projet du code des investissements.
C’est un projet de code nouveau qui vise à réaffirmer et renforcer les garanties aux investisseurs qui viennent en Côte d’Ivoire», a révélé Ouattara Lakoun, Directeur général du patronat ivoirien, au sortir de la séance de travail. Pour ce code à venir, Ouattara Lakoun note également qu’elle ouvre des perspectives à tous ceux qui feront des investissements dans l’optique de la transformation des matières locales. Pour la douane qui a été associée aux réflexions, ce séminaire vient à point nommé. «Faciliter la création des entreprises, pose des questions fondamentales.
C’est important parce que la création d’entreprises en Côte d’Ivoire est un vrai parcours du combattant et ce n’est pas donné à tout le monde de réussir. L’initiative de la création du CFE va permettre de clarifier la procédure pour que les entreprises puissent se former rapidement », a fait savoir le directeur général adjoint de la douane, le colonel Kouadio Marcellin. Avant de saluer le travail abattu par les avocats pour ce code à venir. Car, estime-t-il, la Côte d’Ivoire n’a pas à rester en dehors de ce mouvement d’ensemble qui se passe dans le monde entier. Puisqu’à l’analyse, ce nouveau projet de code «correspond à ce que beaucoup d’entrepreneurs souhaitent».
K. Hyacinthe
«Cette réunion s’inscrit dans le cadre de notre collaboration avec le secteur privé. Elle fait partie des rencontres au cours desquelles, nous passons en revue, les réelles préoccupations du secteur privé. Il était question pour nous de parler de deux sujets : le CFE (Centre de Facilité de Création du Secteur Privé) et le code des investissements. L’état des lieux, c’est qu’il faut apporter un changement dans notre environnement des affaires en Côte d’Ivoire. Nous avons trouvé la meilleure articulation, en collaboration avec le ministère d’Etat, ministère de la Justice ; le ministère de l’Industrie et le secteur privé ».
Ces propos sont du ministre de l’Industrie, Dosso Moussa. Qui a présidé cette réunion. Une position du ministre qui ne s’éloigne pas de celle du patronat. «On a surtout travaillé à regarder deux points clés qui sont la mise en place d’un centre de facilitation de la création des entreprises. Avec pour ambition d’aider à faciliter toutes les formalités administratives à la naissance d’une entreprise en 48h. Nous sommes aujourd’hui sur la phase de finalisation des travaux de mise en place pour lancer cet instrument. Le deuxième point, c’est l’avant projet du code des investissements.
C’est un projet de code nouveau qui vise à réaffirmer et renforcer les garanties aux investisseurs qui viennent en Côte d’Ivoire», a révélé Ouattara Lakoun, Directeur général du patronat ivoirien, au sortir de la séance de travail. Pour ce code à venir, Ouattara Lakoun note également qu’elle ouvre des perspectives à tous ceux qui feront des investissements dans l’optique de la transformation des matières locales. Pour la douane qui a été associée aux réflexions, ce séminaire vient à point nommé. «Faciliter la création des entreprises, pose des questions fondamentales.
C’est important parce que la création d’entreprises en Côte d’Ivoire est un vrai parcours du combattant et ce n’est pas donné à tout le monde de réussir. L’initiative de la création du CFE va permettre de clarifier la procédure pour que les entreprises puissent se former rapidement », a fait savoir le directeur général adjoint de la douane, le colonel Kouadio Marcellin. Avant de saluer le travail abattu par les avocats pour ce code à venir. Car, estime-t-il, la Côte d’Ivoire n’a pas à rester en dehors de ce mouvement d’ensemble qui se passe dans le monde entier. Puisqu’à l’analyse, ce nouveau projet de code «correspond à ce que beaucoup d’entrepreneurs souhaitent».
K. Hyacinthe