Détenu depuis 5 mois à la Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan (Maca), Hermann Aboa est libre depuis le vendredi 30 décembre 2011. Le journaliste de la Rti bénéficie d’une liberté provisoire qui lui a été accordée par les juges d’instruction près le parquet d’Abidjan.
Après 5 mois de détention, vous bénéficiez d’une mise en liberté provisoire. Qu’est-ce que cela vous fait ?
C’est l’émotion actuellement. Je suis très content. Je dis merci à la Justice ivoirienne. Merci à tous ceux qui de près ou de loin ont prié pour moi. Merci aux journalistes de Côte d’Ivoire, au Cnp, au Cipj, à Reporters sans frontières à l’Unjci et à toutes les organisations professionnelles. Je remercie tous ceux qui dans la discrétion ont travaillé pour ma mise en liberté, surtout au doyen Eugène Dié Kacou. Je remercie L’intelligent d’Abidjan et son directeur général, M. Alafé Wakili. Je suis content de retrouver ma famille. Je suis soulagé.
Que comptez-vous faire maintenant ?
C’est une liberté provisoire. Je reste disponible pour la suite des enquêtes et je répondrai présent chaque fois que la Justice aura besoin de moi. C’est une grande étape qu’on vient de franchir. Je ne voudrais pas oublier tous ceux qui sont restés en prison. Je souhaite que la Justice fasse tout pour qu’ils retrouvent aussi leurs familles.
Comment comptez-vous fêter le nouvel an ?
Cette liberté est vraiment un cadeau pour moi. Je voudrais fêter dans la discrétion. Je vais profiter également pour retrouver les amis que je n’ai plus revus depuis plusieurs mois.
Avez-vous des vœux particuliers?
Je souhaite la paix en Côte d’Ivoire et le bonheur pour tous les Ivoiriens. Je souhaite également bon vent au Président Alassane Ouattara afin qu’il réalise son vœu cher qui est de réconcilier les Ivoiriens et de leur permettre de s’épanouir.
Recueillis par David Y.
Après 5 mois de détention, vous bénéficiez d’une mise en liberté provisoire. Qu’est-ce que cela vous fait ?
C’est l’émotion actuellement. Je suis très content. Je dis merci à la Justice ivoirienne. Merci à tous ceux qui de près ou de loin ont prié pour moi. Merci aux journalistes de Côte d’Ivoire, au Cnp, au Cipj, à Reporters sans frontières à l’Unjci et à toutes les organisations professionnelles. Je remercie tous ceux qui dans la discrétion ont travaillé pour ma mise en liberté, surtout au doyen Eugène Dié Kacou. Je remercie L’intelligent d’Abidjan et son directeur général, M. Alafé Wakili. Je suis content de retrouver ma famille. Je suis soulagé.
Que comptez-vous faire maintenant ?
C’est une liberté provisoire. Je reste disponible pour la suite des enquêtes et je répondrai présent chaque fois que la Justice aura besoin de moi. C’est une grande étape qu’on vient de franchir. Je ne voudrais pas oublier tous ceux qui sont restés en prison. Je souhaite que la Justice fasse tout pour qu’ils retrouvent aussi leurs familles.
Comment comptez-vous fêter le nouvel an ?
Cette liberté est vraiment un cadeau pour moi. Je voudrais fêter dans la discrétion. Je vais profiter également pour retrouver les amis que je n’ai plus revus depuis plusieurs mois.
Avez-vous des vœux particuliers?
Je souhaite la paix en Côte d’Ivoire et le bonheur pour tous les Ivoiriens. Je souhaite également bon vent au Président Alassane Ouattara afin qu’il réalise son vœu cher qui est de réconcilier les Ivoiriens et de leur permettre de s’épanouir.
Recueillis par David Y.