La Présidente du Comité national de surveillance des actions de lutte contre la traite, l’exploitation et le travail des enfants, Mme Dominique Ouattara, Première dame de la République de Côte d’Ivoire ne veut pas donner du temps au temps en ce qui concerne cette lutte à mener. Vendredi dernier, 1h 30 durant, elle a échangé avec deux ministres de la République, Gilbert Kafana Koné, Ministre d’Etat, Ministre de l’Emploi, des Affaires sociales et de la solidarité et Mme Raymonde Goudou Coffie, Ministre de la Famille, de la Femme et de l’Enfant. Le premier est président du Comité interministériel de lutte contre la traite, l’exploitation et le travail des enfants et la seconde, vice-présidente de ce comité.
Au centre des discussions : la future collaboration entre les deux entités. Les deux parties en ont profité pour échanger sur la mission qui se rendra aux Etats-Unis, du 20 au 29 janvier, pour participer à la réunion tripartite (Côte d’Ivoire-Etats-Unis- Ghana) de lutte contre la pire forme de travail des enfants. Lors de la rencontre, deux experts travaillant pour le compte du Comité de surveillance ont été présentés. Il s’agit de Mme Mil Niepold (expert international) et de Konan Amany Michel (expert national).
Rappelons que le Comité interministériel de lutte contre la traite, l’exploitation et le travail des enfants créé par décret n°2011-365 du 03 novembre 2011 est chargé de définir et veiller à l’application des orientations du Gouvernement dans le cadre de la politique nationale de lutte contre la traite, l’exploitation et le travail des enfants. Il valide les différents programmes et projets exécutés par les partenaires en vue de vérifier leur conformité avec cette politique nationale ; coordonne les activités de tous les acteurs intervenant dans ce domaine et évalue l’exécution des programmes et projets relatifs à la lutte contre la traite, l’exploitation et le travail des enfants.
Le Comité de surveillance que préside la Première dame, quant à lui, a été créé par décret n° 2011-366 du 03 novembre 2011. Il est chargé de suivre la mise en œuvre des projets et programmes du Gouvernement dans le cadre de la lutte contre la traite, l’exploitation et le travail des enfants. Il suit aussi, l’application des conventions en matière de lutte contre la traite, l’exploitation et le travail des enfants. Le Comité de surveillance initie des actions de prévention contre ce fléau. Dans ce cadre, il fait des propositions au Gouvernement en vue de l’abolition du travail des enfants et propose des mesures pour la prise en charge des enfants victimes des pires formes de travail. Enfin, il contribue à la réinsertion scolaire et professionnelle des enfants travailleurs.
Au centre des discussions : la future collaboration entre les deux entités. Les deux parties en ont profité pour échanger sur la mission qui se rendra aux Etats-Unis, du 20 au 29 janvier, pour participer à la réunion tripartite (Côte d’Ivoire-Etats-Unis- Ghana) de lutte contre la pire forme de travail des enfants. Lors de la rencontre, deux experts travaillant pour le compte du Comité de surveillance ont été présentés. Il s’agit de Mme Mil Niepold (expert international) et de Konan Amany Michel (expert national).
Rappelons que le Comité interministériel de lutte contre la traite, l’exploitation et le travail des enfants créé par décret n°2011-365 du 03 novembre 2011 est chargé de définir et veiller à l’application des orientations du Gouvernement dans le cadre de la politique nationale de lutte contre la traite, l’exploitation et le travail des enfants. Il valide les différents programmes et projets exécutés par les partenaires en vue de vérifier leur conformité avec cette politique nationale ; coordonne les activités de tous les acteurs intervenant dans ce domaine et évalue l’exécution des programmes et projets relatifs à la lutte contre la traite, l’exploitation et le travail des enfants.
Le Comité de surveillance que préside la Première dame, quant à lui, a été créé par décret n° 2011-366 du 03 novembre 2011. Il est chargé de suivre la mise en œuvre des projets et programmes du Gouvernement dans le cadre de la lutte contre la traite, l’exploitation et le travail des enfants. Il suit aussi, l’application des conventions en matière de lutte contre la traite, l’exploitation et le travail des enfants. Le Comité de surveillance initie des actions de prévention contre ce fléau. Dans ce cadre, il fait des propositions au Gouvernement en vue de l’abolition du travail des enfants et propose des mesures pour la prise en charge des enfants victimes des pires formes de travail. Enfin, il contribue à la réinsertion scolaire et professionnelle des enfants travailleurs.