173.089.333 millions de dollars américains, soient un peu plus de 86 milliards de FCFA. C’est le montant dont auront besoin les organisations humanitaires pour l’exercice 2012 en Côte d’Ivoire. C’est l’information principale livrée hier dans la salle de conférence du ministère des Affaires étrangères par Mme Catherine Bragg, sous-secrétaire générale des Nations Unies pour les Affaires Humanitaires et Coordonnatrice adjointe des Secours Humanitaires, actuellement en séjour en Côte d’Ivoire.
Et ce, à l’occasion de la cérémonie de lancement du CAP 2012, qui est le plan stratégique de réponses aux besoins humanitaires en Côte d’Ivoire. Un plan qui permettra principalement d’améliorer les conditions de vie et la protection des populations ciblées, d’identifier et de soutenir les solutions durables pour le retour volontaire et l’intégration socio-économique et réduire le risque et atténuer les effets d’une nouvelle reprise de la crise. En effet, justifie-t-elle, malgré une stabilisation progressive et la diminution significative du nombre de déplacées internes sur site et en familles d’accueil ainsi que le nombre de refugiés dans les pays voisins, plusieurs milliers de personnes se trouvent dans une situation vulnérable importante. De même poursuit-elle de nombreuses personnes n’ont toujours pas retrouvé les capacités nécessaires pour subvenir à leurs besoins de base comme l’alimentation et nombre d’entre eux doivent tout reconstruire. C’est dans ce contexte de transition où les défis pour la Côte d’Ivoire sont nombreux, que s’inscrit, a-t-elle insisté, le lancement du Processus d’appel Consolidé 2012.
Après avoir remercié les ONG nationales et internationale pour leur assistance et leur engagement au peuple de Côte d’Ivoire, Gilbert Kafana Koné, ministre d’Etat, ministre de l’Emploi, des Affaires sociales et de la Solidarité a salué le CAP 2012. « C’est un instrument de planification et de mobilisation des ressources à encourager», a-t-il indiqué. Surtout, a-t-il poursuivi, « que des défis restent à relever au niveau de la santé, de l’habitation, de l’éducation, de la sécurité ». En attendant, il appelle de tous ses vœux, le retour des déplacés internes dans leur site d’origine. « Le gouvernement jouera sa partition. Il faut que les donateurs se mobilisent autour de l’action humanitaire », a-t-il souhaité. Aujourd’hui, Mme Catherine Bragg sera dans l’ouest du pays pour évaluer la situation humanitaire.
Thiery Latt
Et ce, à l’occasion de la cérémonie de lancement du CAP 2012, qui est le plan stratégique de réponses aux besoins humanitaires en Côte d’Ivoire. Un plan qui permettra principalement d’améliorer les conditions de vie et la protection des populations ciblées, d’identifier et de soutenir les solutions durables pour le retour volontaire et l’intégration socio-économique et réduire le risque et atténuer les effets d’une nouvelle reprise de la crise. En effet, justifie-t-elle, malgré une stabilisation progressive et la diminution significative du nombre de déplacées internes sur site et en familles d’accueil ainsi que le nombre de refugiés dans les pays voisins, plusieurs milliers de personnes se trouvent dans une situation vulnérable importante. De même poursuit-elle de nombreuses personnes n’ont toujours pas retrouvé les capacités nécessaires pour subvenir à leurs besoins de base comme l’alimentation et nombre d’entre eux doivent tout reconstruire. C’est dans ce contexte de transition où les défis pour la Côte d’Ivoire sont nombreux, que s’inscrit, a-t-elle insisté, le lancement du Processus d’appel Consolidé 2012.
Après avoir remercié les ONG nationales et internationale pour leur assistance et leur engagement au peuple de Côte d’Ivoire, Gilbert Kafana Koné, ministre d’Etat, ministre de l’Emploi, des Affaires sociales et de la Solidarité a salué le CAP 2012. « C’est un instrument de planification et de mobilisation des ressources à encourager», a-t-il indiqué. Surtout, a-t-il poursuivi, « que des défis restent à relever au niveau de la santé, de l’habitation, de l’éducation, de la sécurité ». En attendant, il appelle de tous ses vœux, le retour des déplacés internes dans leur site d’origine. « Le gouvernement jouera sa partition. Il faut que les donateurs se mobilisent autour de l’action humanitaire », a-t-il souhaité. Aujourd’hui, Mme Catherine Bragg sera dans l’ouest du pays pour évaluer la situation humanitaire.
Thiery Latt