Du 23 au 29 janvier prochain, se tiendra dans la capitale politique ivoirienne, au pied de la Basilique Notre Dame de la Paix, une importante rencontre ecclésiale regroupant les Evêques anglophones, francophones et lusophones de l’Afrique de l’Ouest, pour la création d’une conférence régionale épiscopale dénommée «RECOWA-CERAO».
Cet organe régional, selon Mgr Yao Kouadio Marcelin du diocèse de Yamoussoukro, président d’organisation de ladite assemblée constitutive, sera l’organe de liaison entre tous les Evêques de l’Afrique de l’Ouest et entre les conférences Episcopales de l’Afrique de l’Ouest, mais particulièrement pour des questions d’intérêt commun. L’objectif, à en croire le président du comité d’organisation, l conférencier du jour, est de favoriser la coopération missionnaire, coordonner les activités d’intérêt commun et de promouvoir une pastorale organique.
Cependant, affirme le conférencier, Mgr Yao Marcelin, la compétence épiscopale et de chaque Evêque reste intacte, conformément aux prescriptions du code de droit canonique. En substance, il indiquera que les objectif spécifiques dont entre autres, le maintien des relations, la promotion et le sauvetage de leur plus grand bien, servira comme un organe de liaison et de proclamation de la Foi catholique, le dialogue interreligieux… Le choix porté sur la Côte d’Ivoire est jugé par le président du comité d’organisation, comme un choix judicieux. D’abord parce que le pays possède des infrastructures qui peuvent accueillir en toute liberté, les participants.
Et surtout que la Côte d’Ivoire est une terre de paix en général et particulièrement la ville de Yamoussoukro avec tous ses symboles. Avec la naissance de cette haute institution ecclésiale, les conférences des Evêques de l’Afrique de l’Ouest, l’association (AECAWA) de la conférence Episcopale de l’Afrique de l’Ouest Anglophone et la conférence Episcopale de l’Afrique de l’Ouest (CERAO) née en juin 1963, demeurent solidaires de l’unique conférence épiscopale régionale pour l’Afrique de l’Ouest qui englobe les pays francophones, anglophones et lusophones.
Avec cette création, les conférences AECAWA et CERAO) cessent d’exister et de fonctionner. Dès lundi prochain déjà, plus de 200 participants sont attendus dans la capitale économique où une messe est prévue à la cathédrale St-Paul. Pour les pays francophones, le Bénin, le Burkina Faso, le Niger, la Côte d’Ivoire, le Mali, le Sénégal, la Mauritanie et le Togo, sont attendus. Ainsi, que le Cap-Vert, la Guinée-Bissau, Autres pays attendus : Italie, France, Vatican, Nigéria, Ghana, Libéria, Sierra-Léone et Gambie.
Jacquelin Mintoh
Cet organe régional, selon Mgr Yao Kouadio Marcelin du diocèse de Yamoussoukro, président d’organisation de ladite assemblée constitutive, sera l’organe de liaison entre tous les Evêques de l’Afrique de l’Ouest et entre les conférences Episcopales de l’Afrique de l’Ouest, mais particulièrement pour des questions d’intérêt commun. L’objectif, à en croire le président du comité d’organisation, l conférencier du jour, est de favoriser la coopération missionnaire, coordonner les activités d’intérêt commun et de promouvoir une pastorale organique.
Cependant, affirme le conférencier, Mgr Yao Marcelin, la compétence épiscopale et de chaque Evêque reste intacte, conformément aux prescriptions du code de droit canonique. En substance, il indiquera que les objectif spécifiques dont entre autres, le maintien des relations, la promotion et le sauvetage de leur plus grand bien, servira comme un organe de liaison et de proclamation de la Foi catholique, le dialogue interreligieux… Le choix porté sur la Côte d’Ivoire est jugé par le président du comité d’organisation, comme un choix judicieux. D’abord parce que le pays possède des infrastructures qui peuvent accueillir en toute liberté, les participants.
Et surtout que la Côte d’Ivoire est une terre de paix en général et particulièrement la ville de Yamoussoukro avec tous ses symboles. Avec la naissance de cette haute institution ecclésiale, les conférences des Evêques de l’Afrique de l’Ouest, l’association (AECAWA) de la conférence Episcopale de l’Afrique de l’Ouest Anglophone et la conférence Episcopale de l’Afrique de l’Ouest (CERAO) née en juin 1963, demeurent solidaires de l’unique conférence épiscopale régionale pour l’Afrique de l’Ouest qui englobe les pays francophones, anglophones et lusophones.
Avec cette création, les conférences AECAWA et CERAO) cessent d’exister et de fonctionner. Dès lundi prochain déjà, plus de 200 participants sont attendus dans la capitale économique où une messe est prévue à la cathédrale St-Paul. Pour les pays francophones, le Bénin, le Burkina Faso, le Niger, la Côte d’Ivoire, le Mali, le Sénégal, la Mauritanie et le Togo, sont attendus. Ainsi, que le Cap-Vert, la Guinée-Bissau, Autres pays attendus : Italie, France, Vatican, Nigéria, Ghana, Libéria, Sierra-Léone et Gambie.
Jacquelin Mintoh
