Le Front populaire ivoirien (FPI) a annoncé dimanche la mort d`un de ses partisans lors d`une attaque menée la veille à coups de pierres contre un rassemblement du principal parti d`opposition de Côte d`Ivoire.
La mission des Nations unies (Onuci) a condamné les violences commises, selon le FPI, par des jeunes liés au gouvernement. Ni les autorités ni la police n`ont réagi dans l`immédiat.
L`incident souligne les tensions qui subsistent en Côte d`Ivoire neuf mois après l`arrestation de l`ancien président Laurent Gbagbo et l`accession à la présidence de son rival Alassane Ouattara au terme de plusieurs semaines de conflit.
"Le comité d`organisation (du rassemblement) confirme qu`une personne a succombé à ses blessures. Il y a également eu beaucoup de blessés", a déclaré Laurent Akoun, secrétaire général du FPI.
Sylvain Miaka Ouretto, président par intérim du FPI, a accusé les partisans du RDR (Rassemblement des Républicains) d`Alassane Ouattara d`avoir inspiré cette attaque.
"Ils aiment la violence et redoutent de nous voir nous exprimer", a-t-il dit.
Le FPI, au pouvoir pendant plus de dix ans, dont les partisans ont été accusés d`abus lors des violences qui ont suivi l`élection présidentielle contestée de novembre 2010, s`est en grande partie effondré depuis l`arrestation de Gbagbo le 11 avril et son boycottage des élections législatives du 12 décembre.
Plusieurs rassemblements du FPI ont déjà été perturbés par des groupes de jeunes gens soupçonnés d`être liés au RDR.
La mission des Nations unies (Onuci) a condamné les violences commises, selon le FPI, par des jeunes liés au gouvernement. Ni les autorités ni la police n`ont réagi dans l`immédiat.
L`incident souligne les tensions qui subsistent en Côte d`Ivoire neuf mois après l`arrestation de l`ancien président Laurent Gbagbo et l`accession à la présidence de son rival Alassane Ouattara au terme de plusieurs semaines de conflit.
"Le comité d`organisation (du rassemblement) confirme qu`une personne a succombé à ses blessures. Il y a également eu beaucoup de blessés", a déclaré Laurent Akoun, secrétaire général du FPI.
Sylvain Miaka Ouretto, président par intérim du FPI, a accusé les partisans du RDR (Rassemblement des Républicains) d`Alassane Ouattara d`avoir inspiré cette attaque.
"Ils aiment la violence et redoutent de nous voir nous exprimer", a-t-il dit.
Le FPI, au pouvoir pendant plus de dix ans, dont les partisans ont été accusés d`abus lors des violences qui ont suivi l`élection présidentielle contestée de novembre 2010, s`est en grande partie effondré depuis l`arrestation de Gbagbo le 11 avril et son boycottage des élections législatives du 12 décembre.
Plusieurs rassemblements du FPI ont déjà été perturbés par des groupes de jeunes gens soupçonnés d`être liés au RDR.