Membre du Comité exécutif de la Fifa et de la Caf, Jacques Anouma constitue une figure de proue du football continental. C’est à juste titre qu’il pourrait légitiment rêver de la présidence de la Caf en 2013, au terme du présent mandat d’Hayatou. Après la Fif, ce serait une autre expérience pour ce dirigeant chevronné qui aura permis à la Côte d’Ivoire d’amorcer le chemin du professionnalisme.
Malheureusement, Issa Hayatou est présenté comme l’unique candidat à sa succession. Et, c’est dans cette optique que ces lieutenants ont commencé à se mettre en branle à Malabo. Question de préparer les esprits et baliser le terrain. C’est tout le sens de la dernière déclaration de Badra Sène: «Jacques Anouma, a-t-il confié à la presse (en privée), a applaudi des deux mains le Président de la Caf, Issa Hayatou, au cours de la réunion du Comité exécutif de la Caf».
Une confidence de mauvais goût dont le seul but est de montrer que Jacques Anouma, potentiel candidat, se serait aligné derrière le Camerounais. Pur intox. L’ancien arbitre international a dit tout faux. Car, selon une source bien introduite de la Confédération, il ne s’agissait en aucun moment d’apprécier le bilan d’Hayatou par acclamation. Cette rencontre, précise-t-elle, était tout juste une cérémonie de présentation de vœux au patron de la Caf. Pas plus.
Plus grave, Anjorin Moucharafou, l’autre complice d’Hayatou, estime qu’il serait intéressant de laisser ce dernier exercer un dernier magistère. Montrant ainsi ouvertement la volonté du président de la Caf de fermer la porte à la compétition. Pas si sûr, cependant que ça fonctionne. Car après 2009 où tout a été orchestré pour maintenir l’homme au perchoir, les lignes ont commencé à bouger.
Même Raouraoua, le président de la Fédération algérienne de football, semble déjà dévoiler ses intentions en proposant son pays pour le prochain congrès de la Caf. En tout état de cause, Issa Hayatou peut s’assurer que la recréation est terminée. En cas de victoire au prochain congrès, il restera à la barre jusqu’en 2017. Il aura alors totalisé une longévité record de 25 ans à la tête de la Caf. Lui qui a pris le pouvoir depuis 1988.
Une correspondance à Malabo
Malheureusement, Issa Hayatou est présenté comme l’unique candidat à sa succession. Et, c’est dans cette optique que ces lieutenants ont commencé à se mettre en branle à Malabo. Question de préparer les esprits et baliser le terrain. C’est tout le sens de la dernière déclaration de Badra Sène: «Jacques Anouma, a-t-il confié à la presse (en privée), a applaudi des deux mains le Président de la Caf, Issa Hayatou, au cours de la réunion du Comité exécutif de la Caf».
Une confidence de mauvais goût dont le seul but est de montrer que Jacques Anouma, potentiel candidat, se serait aligné derrière le Camerounais. Pur intox. L’ancien arbitre international a dit tout faux. Car, selon une source bien introduite de la Confédération, il ne s’agissait en aucun moment d’apprécier le bilan d’Hayatou par acclamation. Cette rencontre, précise-t-elle, était tout juste une cérémonie de présentation de vœux au patron de la Caf. Pas plus.
Plus grave, Anjorin Moucharafou, l’autre complice d’Hayatou, estime qu’il serait intéressant de laisser ce dernier exercer un dernier magistère. Montrant ainsi ouvertement la volonté du président de la Caf de fermer la porte à la compétition. Pas si sûr, cependant que ça fonctionne. Car après 2009 où tout a été orchestré pour maintenir l’homme au perchoir, les lignes ont commencé à bouger.
Même Raouraoua, le président de la Fédération algérienne de football, semble déjà dévoiler ses intentions en proposant son pays pour le prochain congrès de la Caf. En tout état de cause, Issa Hayatou peut s’assurer que la recréation est terminée. En cas de victoire au prochain congrès, il restera à la barre jusqu’en 2017. Il aura alors totalisé une longévité record de 25 ans à la tête de la Caf. Lui qui a pris le pouvoir depuis 1988.
Une correspondance à Malabo